Les transports publics seront gratuits, a annoncé
la coalition hier après-midi. Ce choix est davantage porté par les libéraux et
les socialistes que par les écologistes, qui préfèrent parler de qualité. La
victoire du modèle estonien, moins efficace que le modèle suisse? Comparaison.
Les transports publics seront gratuits au Luxembourg.
Tour à tour, hier après-midi, chacun des représentants des trois partis engagés
dans la future coalition ont confirmé cette mesure, principalement pour des
«raisons sociales» a même indiqué le ministre de la Justice, Félix Braz. Tour à
tour, ils ont aussi confirmé le poursuite des investissements massifs au service
de la qualité.
L'Estonie s'est engagée sur la voie du gratuit dès
janvier 2013 à Tallinn. Avec son identité numérique, le résident de la capitale
estonienne peut obtenir une «green card» contre 2 euros et voyager librement.
Les autorités municipales ont renoncé à 12 millions d'euros de recettes
annuelles pour se lancer dans l'aventure, promise par différents partis
politiques depuis 2005, afin d'aider les habitants les plus démunis ou pour les
sociaux-démocrates jusqu'à la lutte contre les bouchons pour le centre-droit. La
hausse des voyageurs, cette année-là, a été uniquement due à l'utilisation, par
ceux qui se déplaçaient jusque-là à pied, des bus et autres trams de la capitale
estonienne, le trafic automobile n'a pas diminué. En cinq ans, le nombre de
voitures a même augmenté de 44 % en Estonie. Elles émettent 60 % des émissions
de CO2 du pays contre 6 % pour les transports publics à Tallin. «Pourtant, le
nombre de trajets a augmenté de 4 à 5 % par an», note le responsable des
Affaires européennes de la Ville de Tallinn, Allan Alaküla. «En 2017, 142
millions de voyages ont été effectués en bus, tram et trolleybus» après des
rénovations du réseau et du matériel. A titre indicatif, 100 millions de voyages
en transports publics ont été enregistrés au Luxembourg en 2016.
La Suisse, neuf ans d'avance sur le Luxembourg
Au bord de la mer Baltique, ce choix politique a été
étendu à toute l'Estonie cet été, onze des quinze régions administratives
offrent l'utilisation du bus.
La mesure n'a pas d'impact sur le climat, hurle déjà
le principal parti d'opposition. Le Parti de la réforme, des libéraux de
centre-droit, a promis d'y mettre fin s'il remporte les élections législatives
de mars 2019.
L'impact a été bénéfique... parce qu'il a incité
31.000 personnes de plus à s'installer à Tallinn, répondent les autorités de la
capitale.
Dans d'autres pays, le Canada, les Etats-Unis ou même
la France où des discussions sont en cours à Paris, les analyses sont très
prudentes avec l'intérêt de la gratuité tant en termes social
qu'environnemental.
L'Estonie, ce n'est pas le modèle de référence du
ministre luxembourgeois des Transports, fait savoir son cabinet. Mais plutôt la
Suisse, champion d'Europe avec 2.439 kilomètres en train par habitant et par an
contre 1.391 en Autriche (2e) et 1.373 en France (3e). La distance parcourue par
les trains, trams et bus a augmenté de plus de 30 % entre 2000 et 2016. Les
trains, les trams et les bus sont plus fréquents, plus rapides, plus directs
(moins de changements) et circulent la nuit. Entrées à plan- cher bas, systèmes
d’information de la clientèle, prises électriques: l'offre s'adapte à la demande
des clients.
La Suisse avait même déjà atteint en 2016 un objectif
similaire à celui que le Luxembourg poursuit pour 2025: 52 % des «pendulaires»,
ceux qui vont de leur domicile à leur lieu de travail, utilisent leur voiture,
17 % le train, 14 % les transports publics sur la route, 8 % vont à pied et 7 %
en vélo.
250 entreprises de transport, un titre unique
Comment les Suisses y sont parvenus? En améliorant le
service et en cassant les prix. L'abonnement demi-tarif – créé en 1891, huit ans
avant l'abonnement général – est passé de 360 à 100 francs suisses en 1987. Le
Parlement suisse voulait favoriser son adoption pour des raisons
environnementales.
En peu de temps, le nombre d'abonnements dépasse les
trois millions. Trois quarts des 16-24 ans possèdent un des deux abonnements et
plus de 50 % des voyageurs plus âgés et l'utilisent pour les 37 kilomètres
qu'ils parcourent chaque jour.
250 entreprises (!) délivrent un seul titre de
transport, avec un rabais de distance qui peut atteindre jusqu'à 25 %.
L'abonnement à «Service direct» fonctionne sur les 24.000 kilomètres des
transports publics suisses. Un seul élément met un bémol à cette situation
idéale: interrogés en 2015 dans le cadre du «Microrecensement mobilité et
transports», 52.000 personnes donnent les trois mêmes raisons pour préférer la
voiture aux transports publics ou l'inverse. C'est la solution la plus simple
(43,9 % pour la voiture, 41,8 % pour les transports publics), il n'y a pas
d'alternative (23,3 %-31,1 %) et le temps de déplacement est plus court (22,9
%-13,8 %). Les bagages plaident pour la voiture, le confort, le coût, les
habitudes, l'environnement, l'abonnement et le stationnement pour les transports
publics.
Pour améliorer l'offre, le Conseil fédéral a lancé en
décembre 2017 une «Etape d’aménagement de l’infrastructure ferroviaire 2030/35»,
qui prévoit 11,5 milliards de francs suisses (10 milliards d'euros)
d'investissements jusqu'à cette date.
On ignore encore le montant que la future coalition
luxembourgeoise investira de son côté mais les trois partis ont reconnu
l'importance d'accompagner la gratuité d'une amélioration du service.
Luxemburger Wort vom Freitag, 30.
November 2018, Seite 14 (29 Views)
Transport collectif gratuit.
Sozialkonflikt bei Luxtram spëtzt sech ëmmer
weider zou
OGBL a Landesverband hunn um Dënschdeg de Moien annoncéiert op d'Conciliatioun
ze goen.
Vum Sandy Schmit (RTL.lu)
Wéi den OGBL an de Landesverband elo an engem Schreiwes präziséieren, huet
d'Luxtram-Direktioun op Zäit gespillt. Mam Sozialkonflikt, dee sech do géif
annoncéieren, sollt bis no de Parlamentswalen am Oktober gewaart ginn.
A ville Verhandlungsronne mat der Direktioun vu Luxtram wär een net weiderkomm.
Eng reell Upassung vun de Léin bei Luxtram un den ëffentlechen Déngscht a
besonnesch besser, méi sëcher Aarbechtskonditioune géife vun der Direktioun
ignoréiert ginn.
D'Gewerkschaften hunn d'Salariéë vu Luxtram SA den 3. Oktober iwwert den
aktuelle Stand vun de Verhandlungen informéiert, déi déi lescht Propose vun der
Direktioun, den Ufanksgehalt z'erhéijen, eestëmmeg refuséiert hunn. Fir si
wieren d'Aarbechtskonditioune weiderhin net ze toleréieren. Och bei
Verbesserunge vun den Ufanksgehälter, géif déi allgemeng Gehälterstruktur awer
nach ëmmer wäit ënnert de gefuerderten Upassunge wéi déi am ëffentlechen
Déngscht leien.
Wéi et weider am Schreiwes heescht, géif d'Direktioun mat hirem sture Verhalen e
Sozialkonflikt reegelrecht provozéieren. Et géif deemno kee Wee méi laanscht
d'Conciliatioun féieren an d'Salariéë wiere sech bewosst, dass mat engem
weideren Echec do näischt méi laanscht e Streik féiert.
Elo wier et e leschten Appell un déi nei Regierung an un d'Stad Lëtzebuerg,
z'intervenéieren. Si kéinte sech net méi aus de Verhandlungen eraushalen, sollt
et zu engem oppene Sozialkonflikt kommen, respektiv, wann et wéinst ze laange
Schichten an ze kuerze Rouphasen zu engem Accident komme sollt. Et wier scho
virkomm, dass Tram-Chauffere wéinst Middegkeet oder Iwwelzegkeet hätte missen
ofgeléist ginn. Net verwonnerlech, wann een hiren Aarbechtsplang géif kucken -
Schichtufank um 9.18 a Schluss um 21.50 Auer. Dat sinn 12 an eng hallef Stonnen,
d'Amplitude bei den CFL zum Beispill läit bei maximal 10 Stonnen. Sozialkonflikt bei Luxtram: OGBL und
Landesverband befassen das Schlichtungsamt
Nach einer letzten von mehreren Verhandlungsrunden am 27. September 2018,
ignorierte die Direktion von Luxtram SA, die vom Personal geforderte legitime
Anpassung ihrer Lohn- und Arbeitsbedingungen an die guten und sicheren
Standards, wie sie im öffentlichen Dienst angewandt werden. Die Direktion schlug
den Gewerkschaften nur minimale Erhöhungen bei den Einstiegsgehältern vor.
Allem Anschein nach spielte die Tram-Direktion auf Zeit. Auf Geheiß von oben
sollte ganz offensichtlich der Ausbruch des sich anbahnenden Sozialkonfliktes
bis nach den Parlamentswahlen vom 14. Oktober 2018 hinausgeschoben werden.
OGBL und FNCTTFEL-Landesverband informierten die Belegschaft von Luxtram SA am
3. Oktober über den letzten Stand der Verhandlungen. Die Belegschaft lehnte
einstimmig die neuen Vorschläge der Direktion ab. Sie ließ sich nicht von den
Scheinzugeständnissen der Direktion blenden. Die Arbeitszeitbedingungen bleiben
nach wie vor unannehmbar. Trotz der vorgeschlagenen Verbesserungen der
Einstiegsgehälter bleibt die allgemeine Gehälterstruktur noch immer weit unter
den geforderten Anpassungen an die üblichen Lohnbedingungen im öffentlichen
Dienst.
Sowohl die Belegschaft als auch die Gewerkschaften kamen zum Schluss, dass die
Direktion kein reales Interesse an einer konsequenten Verbesserung der Arbeits-
und Gehälterbedingungen zeigt. Die Belegschaft bedauerte, dass die sture Haltung
der Direktion den Sozialkonflikt bei Luxtram SA geradezu provoziere. Der Gang
zum Schlichtungsamt sei unumgänglich und bedeute die letzte Chance, um einen
Sozialkonflikt bei Luxtram SA. zu verhindern.
Die Belegschaft ist sich voll bewusst, dass durch ein Scheitern der dort
stattfindenden Verhandlungen ein Streik bei Luxtram SA unumgänglich wird.
Ein letzter Appel werde an die neue Regierung und die Gemeinde Luxemburg
gerichtet. Diese können sich nicht aus ihrer Verantwortung stehlen, sollte es
zum einem offenen Sozialkonflikt kommen respektive wenn aufgrund der überlangen
Schichtdauer und der kurzen täglichen Ruhepausen es zu einem Unfall kommen
sollte, was keiner hofft. Immerhin mussten bereits Tramfahrer während ihrer
Schicht, wegen Müdigkeit und Unwohlsein abgelöst werden. Dies ist nicht
verwunderlich, wenn, wie aus einem Schichtplan hervorging, die Schicht um 9.18
Uhr beginnt und um 21.50 Uhr endet !
Auf den Einwand der Gewerkschaften gelegentlich einer Verhandlungsrunde, die
tägliche Ruhepause von 11 Stunden sei nicht ausreichend für Trambedienstete, die
einen langen Arbeitsweg zu ihrer Arbeitsstätte in Kauf nehmen müssen, erwiderte
der Tramdirektor, diese Bediensteten könnten eine Wohnung in Luxemburg beziehen.
Dies dürfte mit den aktuellen Löhnen, die bei der Tramgesellschaft bezahlt
werden, bis auf Weiteres unmöglich sein.
OGBL und FNCTTFEL-Landesverband verlangen nichts Unmögliches. Sie fordern eine
Angleichung der Arbeits- und Lohnbedingungen bei LUXTRAM an diejenigen, wie sie
bei den andern öffentlichen Transportbetrieben in Luxemburg üblich sind. Es kann
nämlich keinem einleuchten, weshalb die Trambediensteten schlechtere
Lohnbedingungen haben sollen als die Busfahrer der Stadt Luxemburg respektive
schlechtere Arbeitsbedingungen als die Lokführer bei der Eisenbahn.
OGBL und FNCTTFEL-Landesverband appellieren jetzt schon an die Trambenutzer
Verständnis zu zeigen, sollte sich ein offener Sozialkonflikt bei LUXTRAM als
unvermeidbar erweisen.
Kommentar : Ech fannen dem Luxtram-Direkter séng Ausso äusserst
zynesch, d'Personal kënnt jo eng (deier) Wunneng zu Lëtzebuerg (= an der Stad?)
lounen/kafen.
Natierlech ass et gradesou eng riseg Enttäuschung an e Skandal, wéi an dësem
Fall d'Aktionäre vu Luxtram, de Staat an d'Stad Lëtzebuerg sech behuelen. De
Staat also deen duerch de gréngbloe Bausch vertrueden ass, an d'Stad Lëtzebuerg
duerch d'Lydie Polfer. Do gesäit een, dass de Bausch net wierklech drun
interesséiert ass, dass d'Leit bei Luxtram anstänneg Aarbechtsconditiounen hunn.
De Bausch verréit permanent séng sozialistesch Jugendidealer. Hien huet sech ëm
180 Grad gedréint. Awer dat schéine verschidde Leit nach net gemierkt ze hunn.
Claude Oswald
Tramausbau geht in die nächste Phase
Luxemburg. Seit dem 27. Juli dieses Jahres fährt die Tram von der Luxexpo bis
zur Place de l'Etoile. Bis Ende 2020 soll sie dann bis zum Hauptbahnhof führen
und vier Haltestellen anfahren. Im Zuge der Erweiterung der Strecke starten am
Montag nun die Vorbereitungsarbeiten im Stadtzentrum, in der Avenue Emile Reuter
und der Avenue de la Liberté. Dabei werden unter anderem die Baustelle
eingerichtet, die Bushaltestellen verlegt, eine provisorische Ampelanlage
installiert und diverses Stadtmobiliar entfernt. Um die bestehenden
unterirdischen Leitungen zu verlegen beziehungsweise durch neue Infrastrukturen
zu ersetzen, werden – wie bereits vor einiger Zeit angekündigt – die Bäume
entlang der Avenue de la Liberté entfernt. Später sollen dort neue Platanen
gepflanzt werden. In der ersten Phase werden nun die Bäume zwischen der Place de
Metz und der Rue Schiller entfernt. Vom 5. November an werden deren zehn entlang
eines Fahrradweges in Aspelt verpflanzt. Auf der Place de Paris müssen acht
Bäume weichen, während die restlichen an der Avenue bis zum Ende des Jahres
entfernt werden. Um die Auswirkungen der Arbeiten auf den Verkehr zu reduzieren,
wird überwiegend nachts gearbeitet. Der Geräuschpegel soll dabei auf ein Minimum
reduziert werden.
Ein Team von zwei Mediatoren wird unter anderem den Anrainern oder
Lieferanten zur Verfügung stehen, um die aktuellen Informationen zur Baustelle
weiterzugeben. Zu erreichen sind sie via Telefon 26 20 28 20. dho/nas
Luxemburger Wort vom Samstag, 27. Oktober 2018, Seite 29
23.09.2018
Les élections législatives du 14 octobre 2018 approchent ...
Dans son programme électoral le parti libéral DP fait preuve de courage en
proposant une extension rapide du réseau de tram. Sous condition que les
électeurs soutiennent le parti, le rail pourrait même fêter son retour dans la
cité de Saint Willibrord. Les autres partis semblent plus réservés sur ce point.
Was kommt nach der Tram ?
Das Luxemburger Wort macht sich Gedanken :
Künstliche Intelligenz
Ist es Fortschritt, wenn selbstfahrende Busse fahren? Die Politik sieht der
Entwicklung von künstlicher Intelligenz mit erschreckender Unbekümmertheit
entgegen.
Seit gestern fahren in Contern und in Pfaffenthal selbstfahrende Busse. Nicht
nur die Betreiber dieser Shuttles sind darauf mächtig stolz, auch die Politik,
die sich gerne im Lichte einer modernen Mobilität sonnt. Ist es aber wirklich
ein Fortschritt, wenn Technik den Menschen abschafft?
Aus der Sicht der Wirtschaft - ja. Die Industriezone in Contern ist nicht direkt
an den Bahnhof angebunden, und deshalb muss ein Zubringerbus die letzte Meile
überbrücken. Da tagsüber die Busse nur halbwegs ausgelastet sind, lässt sich
diese Strecke nicht kostendeckend befahren. Daher der autonome Shuttle, der auf
lange Sicht billiger und flexibler ist. Die Lohnkosten fallen weg, und der
selbstfahrende Bus steht 24 Stunden am Tag bereit.
Für Nutzer und Betreiber ist es eine Win-win-Situation: Der eine bekommt mehr
Mobilität, der andere schreibt schwarze Zahlen. Nur der Busfahrer bleibt auf der
Strecke. Sein Job verschwindet.
An diesem Beispiel lässt sich leicht ausmalen, wohin Digitalisierung und
künstliche Intelligenz führen werden. Kognitive Fähigkeiten erlauben es einer
Maschine, Dinge auszuführen, die bislang nur den Menschen vorbehalten waren. Was
aber machen in Zukunft Millionen Taxi-, Bus- und Lkw-Fahrer rund um die Welt,
wenn das autonome Fahren zum Standard wird? Was wird aus Briefträgern, wenn die
Auslieferung mit fahrerlosen Autos oder gar mit Drohnen stattfindet? Die
Arbeitslosigkeit wird steigen.
Doch ein solcher Wandel ist nicht neu. Erfindungen haben auch früher schon
Arbeit überflüssig gemacht, an anderer Stelle neue Arbeitsplätze aber entstehen
lassen, wodurch am Ende die Gesellschaft insgesamt sogar wohlhabender wurde.
Zukunftsforscher befürchten nun aber, dass es diesmal anders ausgehen wird. Die
Digitalisierung lässt ganze Dienstleistungsketten ins Internet abwandern, etwa
den Buchhandel, das Reisebüro, die Hotelreservierung, ohne dass dadurch neue
Stellen entstehen.
Aber auch Produktionsprozesse lassen sich so dematerialisieren. Der Türschlüssel
wird in Zukunft zu einer App, und die Hersteller der Schlüssel, aber auch die
Fabrikanten der Maschinen, die bislang Schlüssel produziert haben, werden
verschwinden.
Schlimmer noch: Roboter werden zu Menschen. Mit künstlicher Intelligenz
können Maschinen heute bereits menschliche Mimik auswerten und dementsprechend
reagieren. Forscher sind auch dabei, Roboter mit menschlicher Mimik zu
entwickeln, die dann Gefühle simulieren und dem Menschen die Illusion geben, der
Roboter sei mehr als nur eine kluge Maschine.
Vor zwanzig Jahren prophezeite der Österreicher Hans Moravec in seinem Buch
„Computer übernehmen die Macht“, dass die Menschheit einmal die Maschine als
ihren Nachkommen betrachten werde. Das wäre dann die definitive Entmenschlichung
der Gesellschaft. Was aber, wenn die künstliche Intelligenz die natürliche
überflügeln wird? Selbstlernende Computer, die nicht von Menschen gefüttert
werden, sondern sich permanent weiterentwickeln, gibt es bereits heute.
Künstliche Intelligenz revolutioniert den Alltag, nimmt den Menschen Arbeit
ab – aber auch weg. Die autonomen Shuttle-Busse in Contern und Pfaffenthal sind
nur Fallbeispiele. Die Politik sieht dieser Entwicklung allerdings mit
erschreckender Unbekümmertheit entgegen – das Thema künstliche Intelligenz steht
in Luxemburg in keinem Wahlprogramm.
Stäreplaz, Schueberfouer, Kirchberg: Fahrgäste nutzen die Straßenbahn
auf ganzer Linie
VON BETTY GILLEN
Es sind nur 1,3 Kilometer, doch sie sind ein wichtiger Schritt. Seit Kurzem
fährt die Tram nun auch über die Rote Brücke bis zur Stäreplaz, an dem eine
weitere Umsteigeplattform entsteht. Damit rückt die Tram näher ans Stadtzentrum
– und fährt an der Schueberfouer vorbei.
Es ist ruhig morgens gegen 9 Uhr in der Tram, als sie sich von der Stäreplaz
in Richtung Luxexpo auf den Weg macht. Nur das leise Rollen der Bahn ist zu
hören, aus den Lautsprecher ertönen einige Takte Musik, dann die Namen der
Haltestellen – Etoile, Faïencerie, Theater. Die meisten der Fahrgäste sind
unterwegs zu ihrem Arbeitsplatz in Kirchberg. Viele sind in sich gekehrt,
vielleicht einfach noch müde, konzentrieren sich auf ihr Smartphone. Durch das
farbige Glas der Türen strahlt die Morgensonne und taucht das Innere der Bahn in
grünes, blaues oder lilafarbenes Licht.
Seit einem Monat nun fährt die Tram nicht mehr nur über das
Kirchberg-Plateau, sondern vom Pôle d'échange Rout Bréck-Pafendall aus weiter,
den Glacis entlang bis zur Stäreplaz und nähert sich damit endlich dem
Stadtzentrum.
Noch ist an der neuen Endhaltestelle Stäreplaz nur wenig los. Das wird sich
bald ändern, denn: In zwei Wochen wird dort die neue Umsteigeplattform mitsamt
Busbahnhof in Betrieb genommen, gleichzeitig werden die Busfahrpläne angepasst.
Dann wird es Fahrgästen aus dem Westen des Landes möglich sein, dort in die Tram
Richtung Kirchberg umzusteigen. 17 bis 20 Minuten dauert die Fahrt von der
Stäreplaz bis zur Luxexpo, in den Spitzenstunden starten die 45 Meter langen
Züge, die bis zu 420 Passagieren Platz bieten, alle sechs bis sieben Minuten. So
kann die Tram fast 10 000 Fahrgäste pro Stunde in beide Fahrtrichtungen
befördern.
Ein Kommen und Gehen
Bei der Umsteigeplattform an der Roten Brücke füllt sich die Tram. Die
meisten sind kurz zuvor mit der Standseilbahn angekommen, die die neue
Eisenbahnsteige unten in Pfaffenthal mit dem Kirchberg-Plateau verbindet. Ein
junger Mann schaut kurz auf, sucht einen freien Platz. Er wird fündig, schlägt
sein Buch auf und versinkt in der Lektüre.
Andere Passanten sind bereits etwas sportlicher unterwegs, Sam steigt mit
seinem Fahrrad zu. Den Rest seines Weges legt er lieber mit der Straßenbahn
zurück: „Sonst komme ich total verschwitzt ins Büro.“
An den folgenden Stopps Richtung Luxexpo steigen immer mehr Fahrgäste aus,
kaum neue kommen noch hinzu. Bei der vorletzten Haltestelle „Alphonse Weicker“
in der Nähe des Einkaufszentrums schließlich ist die Bahn praktisch leer.
Am Terminus dann die Durchsage aus der Fahrerkabine mit der Bitte, sich
umzuschauen und nichts zu vergessen. Und das hat seinen Grund, wie Ricky
Friedrichs, der Mann in der Fahrerkabine, erklärt: „Es bleiben relativ oft
Sachen liegen. Manchmal gibt es Tage, an denen wir viel finden. In einer Woche
können es circa sechs oder sieben Objekte sein.“
Die zusätzlichen 1,3 Kilometer zwischen Roter Brücke und Stäreplaz sind für
ihn und seine Kollegen nicht das einzige Novum. Anders als auf dem Kirchberg-
Plateau fährt die Tram vom Pôle d'échange Rout Bréck-Pafendall aus Richtung
Innenstadt und zurück, ohne auf klassische Weise durch eine Oberleitung mit
Strom versorgt zu werden. Wie Tramfahrer Ricky Friedrichs erklärt, findet sich
an jeder der auf diesem Abschnitt liegenden Stationen ein drittes Gleis im
Boden. Wenn er dort andockt, wird die Tram mit Strom versorgt – und schafft es
bis zur nächsten Haltestelle.
Der Passagier bekommt von diesen Tankstopps nichts mit. Eine völlig neue
technische Lösung, die später auch auf der Strecke zwischen Stäreplaz und
Hauptbahnhof eingesetzt wird.
Anpassungen für die Fouer
Für Christiane aus Echternach ist die Verlängerung der Strecke bis nah ans
Stadtzentrum heran ein großer Fortschritt. Die junge Frau arbeitet in Kirchberg,
fährt im Alltag mit der Straßenbahn und jetzt auch gerne in der Mittagspause ins
Zentrum. „Davor musste man immer umsteigen“, erklärt sie.
Positiv überrascht ist sie von den Sicherheitsmaßnahmen, die wegen der
Schobermesse auf dem Glacisfeld getroffen wurden; während des Rummels fährt die
Tram dort nur eingleisig.
Eine Sicherheitsfirma passt darauf auf, dass die Leute nicht einfach so auf
das Gleis laufen und sich in Gefahr bringen. Tramfahrer Ricky Friedrichs
beobachtet, dass zurzeit viel mehr Menschen mit der Tram unterwegs sind als
gewöhnlich und bestätigt die Erwartungen von Luxtram. Aus diesem Grund wurden
die Fahrpläne angepasst: Wochentags verkehrt die Tram zurzeit bis 1.30 Uhr, am
Wochenende sogar bis 2.30 Uhr morgens.
Die Schueberfouer dauert noch bis zum 11. September, nach dem Abbau wird die
Tram auf dem Glacis wieder auf beiden Gleisen rollen. Sie wird den Platz wohl
auch brauchen, weil mit der Eröffnung des Pôle d'échange Stäreplaz pünktlich zur
Rentrée dann viele weitere Passagiere hinzukommen.
Luxemburger Wort vom Samstag, 1. September 2018, Seite 21
Verbindendes Element
Zukünftige Brücke über die Autobahn ermöglicht direkten Anschluss des Ban de
Gasperich an Kockelscheuer
Stück für Stück wird über der A 6 jenes Bauwerk geschaffen, das nicht nur den
Ban de Gasperich mit Kockelscheuer verbinden wird, sondern auch das vorläufige
Endstück der Tramstrecke darstellen wird. Der Brückenbau wird in den kommenden
Wochen umgesetzt.
Ohne Zweifel: Die Fahrt auf der Autobahn A 6, zwischen dem Cessinger und dem
Gaspericher Kreuz, ist gerade zu den Hauptverkehrszeiten kein Zuckerschlecken.
Seit Monaten müssen die Autofahrer sich über eine umgeleitete und verengte
Fahrbahn schlängeln, um sich in diesem Bereich fortzubewegen. Unterwegs,
inmitten der Fahrbahn, erwartet die Verkehrsteilnehmer dann doch ein etwas
kurioses Bild. Mitten auf der Straße befinden sich Betonpfeiler. An den Rändern
der Autobahn jeweils vier weitere.
Das Besondere dabei: Hierbei handelt es sich um eine weite- re Verbindung
hinsichtlich des Ausbaus der Tramstrecke. Ist die Straßenbahn nämlich erst ein-
mal am Hauptbahnhof der Stadt Luxemburg angekommen, wird die Trasse über den
Pont Buchler in Richtung Gare périphérique Howald fortgesetzt. Von dort wird die
Strecke via die Rue Albert Einstein über den Boulevard Kockelscheuer zu der
vorläufigen Endhaltestelle beim neuen nationalen Fußball- und Rugbystadion in
Kockelscheuer führen. Im Bereich der Endhaltestelle der Tram nahe dem Stadion
werden denn auch ein Park & Ride mit 1 981 Stellplätzen sowie ein Busbahnhof
eingerichtet.
Die Verbindung vom Ban de Gasperich über die Autobahn A 6 erfolgt über jene neue
Brücke, deren massive Betonpfeiler derzeit in diesem Bereich in die Höhe ragen.
Aufbau in vier Phasen
Das Bauwerk wird das Bild vor Ort deutlich verändern. Die Brücke besteht
vorwiegend aus einer Metallstruktur, wobei die Fahrbahnplatte aus
Fertigelementen aus Stahlbeton gebaut wird. Sie erstreckt sich auf einer Länge
von 137 Metern über die Autobahn. Mit einer Breite von 27,3 Metern wird
sämtlichen Mobilitätsformen auf der Fahrbahn ausreichend Platz eingeräumt.
Inmitten der Brücke werden sich zwei Spuren für die Tram befinden. Seitlich
davon entstehen jeweils zwei Spuren für den normalen Verkehr. Fußgänger und
Fahrradfahrer werden sich einen breiter gestalteten Gehweg teilen müssen.
Der Aufbau der Metallstruktur erfolgt in vier Etappen entlang der Autobahn,
unweit des künftigen Stadions. Die ersten beiden Phasen stehen bereits in der
kommenden Woche an. Aus diesem Grund wird die Autobahn denn auch vom Freitag,
dem 24. August, bis zum Montag, dem 27. August, in Höhe des Gaspericher Kreuzes
gesperrt.
Wie es vonseiten der Straßenbauverwaltung, die dieses Projekt umsetzt, heißt,
folgt die nächste Phase bereits in der darauffolgenden Woche – vom 31. August
bis zum 3. September. Auch dann wird die A 6 in diesem Bereich nicht befahrbar
sein. Die Montage des letzten Abschnitts wird dann aber keine Auswirkungen auf
den Verkehr haben. Trotz einer weiteren Sperrung vom 14. bis zum 17. September
dürften viele Autofahrer aufatmen. An diesem Wochenende wird die Umleitung
nämlich abmontiert.
Etwas später als geplant
Sind diese Arbeiten an dem Bauwerk erst einmal abgeschlossen, müssen sich die
Verkehrsteilnehmer doch noch etwas gedulden, bis sie diese neue Verbindung
nutzen können. Die Eröffnung der Brücke ist nämlich voraussichtlich erst im
Sommer 2019 vorgesehen. Von dann an bedeutet dies zumindest für die Autofahrer
bereits freie Fahrt.
Die Erweiterung der Tramstrecke zwischen dem Hauptbahnhof und Cloche d'Or
erfolgt allerdings etwas später als geplant. Ursprünglich war vorgesehen, dass
dieser Abschnitt schon 2021 fertiggestellt sei. Man rechnet nun aber damit, dass
dies erst im ersten Halbjahr 2022 der Fall sein wird. Grund dafür ist unter
anderem die nötige Instandsetzung des Pont Buchler. Wegen des hohen
Verkehrsaufkommens auf der Brücke sowie der Zugstrecke unter der Brücke kann
dort nur zu bestimmten Zeiten gearbeitet werden.
Die komplette Tramstrecke wird übrigens 16,4 Kilometer lang sein. Die
Fahrtzeit vom Flughafen Findel bis zum nationalen Fußball- und Rugbystadion in
Kockelscheuer beträgt 40 Minuten.
Luxemburger Wort vom Donnerstag, 16. August 2018, Seite 15
D'Weiche falsch gestallt
Wat soll mat där eideler Gare um Findel geschéien? Ass et net traureg, datt dës
Fro iwwerhaapt gestallt muss ginn? Wéi vill Steiergelder sinn duerch dat
inkonsequent Hin an Hier a Saachen Ausbau vum Schinnennetz ewell zur Fënster
erausgehäit ginn? Bekanntlech war eng Eisebunnsstreck vum Iergäertchen bis erop
op de Findel an dann op de Kierchbierg geplangt. E Projet vun 390 Milliounen
Euro (Gesetz vum 18. Dezember 2003), deen zwar gestëmmt, awer net realiséiert
ginn ass.
Leider ass duerch eng kuerzsiichteg Politik, déi am Tram duerch d’Stad d’Léisung
vun eise Verkéiersproblemer gesinn huet, d’Geleeënheet verpasst ginn, Neel mat
Käpp ze maachen, an d’Eisebunnsnetz un d’Erausfuerderunge vum 21. Jarhonnert
unzepassen. De Schummer-Plang, dee virgesinn huet, fir eis Eisebunnsstrecken
ënner der Stad erduerch mateneen ze verbannen (inklusiv enger Zuel vun
Haltestellen) war a bleift dee richtegen Usaz an hätt eng enorm Verbesserung par
Rapport zum Tram bruet.
Am Schummer-Plang war net virgesinn, vun der Waasserbëlleger Streck bei Minsbech
eng Ofzweigung direkt op de Findel ze bauen. Dës Variant hätt et erlabt, fir um
kierzte Wee mam Zuch op de Findel, duerno bei d'Foire, an dann, entspriechend
dem Schummer-Plang, ënner dem Kierchbierg an dem Stadzentrum erduerch bis op
d’Gare ze fueren an natierlech och ëmgedréit, an dobei op en etlech Plazen
erauszeklammen. D’Nordstreck wär am Pafendall mat dëser RER-Streck verbonne
ginn.
Et kann een dergéinthalen, datt d'Eisebunnsstreck op de Findel an den RER-Tunnel
ënner der Stad mat deene betreffenden Arrête vill Geld kascht hätt. Mee wéi vill
ass dann elo schonn investéiert ginn a gëtt nach investéiert, ouni datt mer eng
wierklech Verbesserung vun der Situatioun erwaarde kënnen?
An dës Solutioun wär, op déi nächst fofzeg Jar gerechent, jiddefalls méi bëlleg
ginn, well mer eis den Tram inklusiv Betribskäschten hätte spure kënnen.
Fazit: D’Weiche si falsch gestallt ginn, a Lëtzebuerg huet déi eemoleg Chance
verpasst, fir sech e Konzept vun ëffentlechem Transport ze ginn, wat den
Erausfuerderunge vun der Zukunft gewuess ass. Den Tram ass en deiert Plooschter
op e gebrachent Been a keng Äntwert op eisen Haaptproblem, nämlech déi vill
Pendler sou wäit wéi méiglech komfortabel a séier iwwer d’Schinn op hir
Destinatioun ze bréngen.
Et ass d’Folleg vun enger ideologesch gefierfter Politik, déi refuséiert huet,
d’Vir- an Nodeeler vun där enger an där anerer Léisung sachlech a
wëssenschaftlech fundéiert géinteneen ofzeweien an d’Vollek an engem Referendum
ëm seng Meenung ze froen. D’Vollek däerf blechen, soll awer net decidéieren. Do
schéngt déi schéi gréng Basisdemokratie buchstäblech ënner den Tram geroden ze
sinn. De Schued ass kaum nach gutt ze maachen, et sief, eng spéider Regierung
hätt de Cou- rage, d’Eisebunn dach nach esou auszebauen, wéi et richteg an
néideg ass.
Roby Mehlen, Éirendeputéierten
Luxemburger Wort vom Samstag, 11. August 2018, Seite 12
+++ +++
Kommentar : An engem fräie Land huet selbstverständlech
jiddereen d'Recht, séng Meenung ze soen. Allerdings zerwéiert den ADR-Mann
Mehlen eis kale Kaffi. De "Schummer-Plang" - net ze verwiessele mam
Schuman-Plang vun 1950 betreffend d'Kuelen- an d'Stolindustrie - ass ewell
laang begruewen.
Wann d'Weiche falsch gestallt goufen, da war et beim Statut vun de
Luxtram-Mataarbechter. Mä do sinn ech mer net sëcher, ob den ADR d'accord
gewiescht wier, fir dëse Leit de Statut vu Gemengebeamten ze ginn, oder fir se
mat den Eisebunner gläichzestellen.
Vläicht ass et jo dat Bescht, den Här Mehlen bleift och no de Wahlen am Oktober
2018
Éirendeputéierten.
Claude
Le vieux tram et son successeur
Dans son édition du 6 août 2018 le Luxemburger Wort publie un article sur le
vieux tram qui a circulé jusqu'en 1964, et un autre article sur le prolongement
de la ligne actuelle vers la Gare Centrale.
Pour lire l'article sur le vieux tram, cliquez
ICI.
Pour lire l'article sur le tram moderne, clique
ICI.
"Unzumutbare Arbeitsbedingungen"
Mit einer Protestaktion am Rande der Einweihung der neuen Tramstrecke weisen die
Gewerkschaften auf die schlechten Bedingungen der Luxtram-Beschäftigten hin.
Das Datum wurde nicht zufällig auf den 27. Juli gelegt. Für die Gewerkschaft
OGBL und den FNCTTFEL-Landesverband ist die Einweihung der neuen Tramstrecke an
der "Place de l'Etoile" der richtige Zeitpunkt, um auf die angeblich "schlechten
Lohn- und Arbeitsbedingungen" bei Luxtram aufmerksam zu machen. Mit einem
Mikrofon in der Hand steht Christian Sikorski in der Allée Scheffer und erklärt,
warum sich die zahlreichen Mitarbeiter der Luxtram dort versammelt haben.
Während seine Kollegen Plakate mit der Aufschrift „Polfer a Bausch am
Dumping-Rausch“ oder „Géint all Sozialdumping am öffentlichen Dengscht“ in der
Hand halten, sagt der OGBL-Gewerkschafter: „Um das Projekt Tram in Luxemburg
durchzuführen hat die Regierung die Wahl getroffen, den Betrieb und die
Verwaltung des Trams einer Firma zu überlassen, die die Rechtsform einer
kommerziellen Aktiengesellschaft hat. Der Staat besitzt aber zwei Drittel des
Kapitals und die Stadt Luxemburg ein Drittel. Daher sehen wir Luxtram SA als
einen vollwertigen öffentlich-rechtlichen Akteur an.“
Die Gewerkschafter beklagen, dass die Lohnunterschiede zwischen den
Arbeitnehmern bei Luxtram SA und den Lohnstandards im öffentlichen Dienst
"zwischen ungefähr minus 30 Prozent und minus 50 Prozent liegen". Der
Unterschied beim Urlaub beträgt bis zu 11 Tage. "Wir liegen hier deutlich unter
den Lohnstandards, die bei den CFL, beim TICE, bei den städtischen Bussen oder
auch bei anderen Betrieben aus dem öffentlichem Dienstleistungssektor gültig
sind", so Landesverband-Präsident Goerges Merenz. Hier betreibt "die öffentliche
Hand Lohndumping in einer Firma, die dem öffentlichen Sektor angehört. Es ist
ein regelrechter Skandal", so Sikorski.
Zudem kann die Gesamtschichtdauer bis zu 13 Stunden täglich betragen wobei sie
bei der staatlichen Eisenbahn bei maximal 10 Stunden liegt. "Der Tram-Fahrer
muss allerdings gleichzeitig den Anforderungen eines Lokführers als auch eines
Busfahrers gerecht werden", so Sikorksi. Daher sei es "unzumutbar, dass den
Tramfahrern eine Gesamtschichtdauer von 13 Stunden auferlegt wird."
"Die jetzige Arbeitsorganisation bei Luxtram stellt ein Risiko für die
Sicherheit der Arbeitnehmer und der Verkehrsteilnehmer dar", sagt Christian
Sikorski.
„Wir haben die öffentlichen Behörden auf die Frage der Lohn- und
Arbeitsbedingungen bei Luxtram angesprochen. Der zuständige Minister meint, es
sei nicht seine Aufgabe, sich in die laufenden Kollektivvertragsverhandlungen
eines privatrechtlichen Unternehmens einzumischen, auch wenn dieses mehrheitlich
dem Staat gehört“, bedauert Christian Sikorski.
Die Gewerkschaften haben nun ein Treffen mit den Verantwortlichen der Stadt
Luxemburg gefragt und „warten auf eine Antwort“.
Kommentar : So also stiehlt der grüne Bausch sich aus der
Verantwortung. Er scheint sich seiner Sache ziemlich sicher zu sein, ein paar
Monate vor den Wahlen, dass die Wähler ihm seinen neoliberalen Kurs verzeihen.
Claude Oswald
Landesverband géint Luxtram
3 nei Tram-Arrêten: Aweiung ënner Protest
Vun elo u fiert den Tram iwwert de Glacis bis op d'Stäreplaz. E Freideg de Moien
hunn déi eng gefeiert an déi aner protestéiert - géint de Sozialdumping.
Wärend e Freideg de Moien déi 3 nei Arrêten vum Tram an der Stad ageweit goufen,
hunn d'Gewerkschafte Landesverband an OGBL mat engem Protestpiquet op
d'Aarbechtskonditioune vun de Mataarbechter vu Luxtram opmierksam gemaach.
Konditiounen, déi ongerecht a skandaléis wiere bei engem Betrib, deen zu zwee
Drëttel dem Staat an engem Drëttel der Stad Lëtzebuerg gehéiert. D'Syndikater
gesinn d'Politik kloer an der Verantwortung a wollte si e Freideg drun
erënneren.
Et ass effektiv éischter eng Erënnerung, oder soe mer besser eng weider Etapp am
Sozialkonflikt, well d'Reprochë sinn alles anescht wéi nei an dowéinst sinn
d'Leit sou lues mat hirer Gedold um Enn. Zënter dem Ufank vun de
Kollektivvertragsverhandlungen am November hunn OGBL a Landesverband ëmmer erëm
drop opmierksam gemaach, datt d'Mataarbechter vu Luxtram bei de Paien an den
Aarbechtsstonne méi schlecht gestallt sinn, wéi hir Pendanten op der Bunn oder
de städtesche Bussen. Dobäi misst ee Luxtram kloer am ëffentlechen Déngscht
gesinn, esou de Christian Sikorski, Generalsekretär vum Syndikat ëffentlechen
Déngscht beim OGBL.
Net drobar, duerfir missten d'Paien un déi vum ëffentlechen Déngscht ugepasst
ginn. An och bei den Aarbechtsstonnen wieren d'Tramschauffere benodeelegt. De
President vum Landesverband Georges Merenz betount, bei den Tramschaufferen wier
eng maximal Amplitude vun 13 Stonnen, bei der Bunn nëmme vun 10. Och bei der
Rouzäit wieren der bei Luxtram nëmmen 11 virgesinn, bei der Bunn ganzer 14.
D'Mataarbechter vu Luxtram hunn iwwregens bis haut nach ëmmer kee
Kollektivvertrag. De Sozialdialog mat der Direktioun wier nämlech äusserst
schwiereg. De Georges Merenz ënnersträicht, dass all Kéier, wa si do wieren,
géing vill geschwat ginn, géing awer net vill dobäi erauskommen an et wier ee
gezwongen, fir ze streiken.
D'Direktioun hätt just wëllen den Tramschaufferen eppes Klenges an der Pai
bäiginn, ma dat hätt d'Mataarbechter nach méi gespléckt an iwwert
d'Aarbechtskonditioune wéilt d'Direktioun bis ewell guer net schwätzen.
D'Bereetschaft, fir ze streiken, wier op alle Fall do, déi wier iwwregens scho
bei der Aweiung am Dezember do gewiescht, heescht et vu Landesverband an OGBL.
Wat genee e Freideg geplangt ass, wollte si am Virfeld net verroden. Dem
Christian Sikorski no wäert ee sech op alle Fall bemierkbar maachen, besonnesch
och bei der Politik, déi sech bis elo och net besonnesch dialogbereet gewisen
hätt. D'Politik misst agräifen an eppes maachen.
Eng Reunioun, déi fir e Mëttwoch geplangt war, ass kuerzfristeg ofgesot an op de
September verréckelt ginn. D'Gewerkschaften hunn d'Gefill hei géif nëmmen op
Zäit gespillt, wa méiglech bis no de Wahlen, an datt déi Responsabel elo fir
d'Aweiung einfach keng schlecht Press wollten. Eent ass sëcher, den éischten
Trajet vum Tram mat Passagéier erof op d'Stäreplaz wäerd vu rosene
Gewerkschaftler begleet ginn. D'Leit solle gesinn, wat hannert de Kulisse leeft.
Gewerkschafte fuerderen: "Stopp de Sozialdumping
bei Luxtram!"
Ënnert deem Motto organiséieren d'Gewerkschafte Landesverband an OGBL iwwermuer
e Protestpiquet an der Schefferallee. Vum Claude Zeimetz (Radio), k2 (RTL.lu)
E Freideg ginn nämlech déi 3 nei Tramsstatioune feierlech ageweit. Grond
genuch, fir ëffentlech op déi intern Problemer vun de betraffene Salariéën
opmierksam ze maachen.
Den 80 Mataarbechter vun der Firma Luxtram, virop den Tramschaufferen, ass
wéinst hiren Aarbechtskonditiounen nämlech alles anescht, wéi fir ze feieren. De
President vum Landesverband Georges Merenz an de Christian Sikorski vum OGBL
schwätze carrement vun ongerechte Lounkonditiounen a skandaléisen
Aarbechtskonditiounen, mat 13-Stonnendeeg, amplaz vun 10. Tëscht 7 an 11
Congésdeeg manner, wéi am ëffentlechen Déngscht an eng Differenz vun 30 bis 50
Prozent an der Pai an dat bei enger Entreprise, déi zu Zweedrëttel dem Staat an
engem Drëttel der Stad Lëtzebuerg gehéiert. D'Gewerkschafte gesinn de Staat an
d'Politik dowéinst an der Verantwortung a wëllen dat e Freideg och weisen. De
Generalsekretär vum Syndikat vum ëffentlechen Déngscht vum OGBL Christian
Sikorski :
D'Syndikater bleiwen derbäi, et wier vun Ufank un besser gewiescht, fir Luxtram
an d'CFL z'integréieren. D'Bereetschaft vum Personal, fir iwwert de
Protestpiquet eraus zu weidere gewerkschaftlechen Aktiounen ze gräifen, wann
néideg bis hin zum Streik, déi wier op alle Fall do. Déi kleng Ouverture, déi
d'Direktioun bis ewell a Saache Kollektivvertrag gemaach hätt, wier eng Farce a
sëcher näischt, fir d'Gemidder ze berouegen, soe Landesverband an OGBL. Eng
Reunioun, déi e Mëttwoch u sech mat der Direktioun geplangt war, ass iwwregens
kuerzfristeg ofgesot ginn. Mam Argument, et wéilt een zu dësem Ament keng
schlecht Press kréien, sou de Georges Merenz an de Christian Sikorski am
RTL-Interview.
Kommentar : Et hat ee jo awer séng "rout" a séng "gréng"
"Frënn" an der Politik, wéi Luxtram gebuer gouf. Hunn dës geschlof, oder hu se
hir Gewerkschaftskom'roden ugesch.... a verroden ?
Eng aner Fro déi ech mer stellen, betrëfft déi "schwaarz" "Frënn" : Wat soe si ?
Wou ass iwwerhaapt déi "schwaarz" Gewerkschaft, wëll soen de Syprolux ?
TRANSPORT Villerupt : un futur tramway nommé désir
Ministre luxembourgeois du Développement et des Infrastructures, François Bausch
a annoncé la création d’un tramway reliant Luxembourg-Ville à Esch. Alain Casoni
se demande s’il ne pourrait pas aller jusqu’à Micheville.
Certes, le projet est encore loin. En fait, il est évoqué pour l’horizon 2035.
Mais il pourrait régler bien des problèmes de mobilité au Luxembourg. Le
ministre du Développement et des Infrastructures du Grand-Duché, François
Bausch, a annoncé qu’à cette date, un tramway devrait relier Luxembourg-Ville à
Esch-sur-Alzzette. De quoi désengorger l’A4, très encombrée aux heures de
pointe.
Jusqu’à Villerupt ?
Alain Casoni, maire de Villerupt, a envoyé à ce sujet deux courriers au préfet
de région, Jean-Luc Marx, et au président du conseil régional, Jean Rottner. Il
interroge le représentant de l’État et l’élu sur les possibilités de travailler
avec le Luxembourg pour que le projet ne s’arrête pas à la frontière, mais qu’il
se poursuive un peu plus loin. C’est-à-dire à Villerupt ou Audun-le-Tiche. « Ce
ne serait pas contradictoire d’avoir un tramway sur l’ensemble du territoire.
Pourquoi devrait-il s’arrêter à la frontière ? », s’interroge le premier
magistrat.
Plus de 15 000 habitants
« À l’horizon 2025-2030, les projets de développement économique et d’habitat
programmés dans le cadre de l’Opération d’intérêt national (OIN) permettront un
gain de 20 000 habitants. La population de Villerupt devrait franchir le cap des
15 000 habitants et celle de la communauté de communes du Pays-Haut Val
d’Alzette devrait se rapprocher de la barre des 50 000 habitants », analyse
Alain Casoni.
150 000 frontaliers
Le maire s’appuie également sur « le développement économique luxembourgeois et
ses répercussions sur le travail frontalier tel qu’il est envisagé par les
études prospectives réalisées de part et d’autre de la frontière. Une étude de
l’agence d’urbanisme et de développement durable de Lorraine Nord estime à plus
de 150 000 le nombre de travailleurs frontaliers français à l’horizon 2035
contre 95 000 actuellement ». Avec les problèmes de transport que tout le monde
connaît.
Prolongation de la ligne ?
Pour Alain Casoni, il serait donc « pertinent de nous interroger et de réfléchir
ensemble, Luxembourgeois et Français, aux différents moyens d’action,
d’accompagnement ou de participation autour de ce projet novateur, afin de le
prolonger jusque sur notre territoire ».
Bus en attendant
Par ailleurs, le maire villeruptien profite de l’occasion pour rappeler que «
des bus à haut niveau de services sont en train d’être mis en place par la
communauté de communes du Pays-Haut Val d’Alzette. Ceux-ci circuleront sur une
voie réservée et assureront la liaison vers Esch-sur-Alzette et
Luxembourg-Ville. Les fréquences seront adaptées ».
Reste à savoir si le souhait de voir le déjà fameux tram luxembourgeois à
Micheville ne finira pas sur une voie de garage.
+++ +++
(Journal, 17 juillet 2018)
Ein grünes Gleisbett für die Tram
Noch einen guten Monat dauert es, bis die Tram die Rote Brücke überquert und bis
zur Stäreplaz verkehrt. Einen Vorgeschmack darauf, wie sie das Stadtbild
verändern wird, gibt es auf dem Glacis schon jetzt.
Nanu, es wird ja richtig grün auf dem ansonsten so grauen Glacisfeld. Die Tram
bahnt sich an – und wird in einer der beiden Richtungen über begrünte Tramgleise
fahren.
Foto: Lex Kleren.
Auch entlang der Avenue Kennedy in Kirchberg ist das Gleisbett der Straßenbahn
inzwischen ergrünt.
Wie auf dem Bild zu sehen, wird die Tram in Limpertsberg schon ohne Oberleitung
unterwegs sein und an jeder Haltestelle via eine spezielle Ladeschiene im Boden
mit Strom versorgt.
Das neue Verkehrsmittel soll sich auf diese Weise harmonisch in seine Umgebung
einfügen und das Stadtbild aufwerten.
In Limpertsberg ist dies schon mal gelungen. Noch fährt die Tram hier aber
lediglich zu Testzwecken auf und ab. Am 27. Juli nimmt sie auf diesem
Streckenabschnitt den regulären Betrieb auf und verkehrt somit von der Luxexpo
via den Pôle d'échange Rout Bréck-Pafendall bis zum Umschlagplatz Stäreplaz, auf
dem ebenfalls ein Busbahnhof entsteht.
Zwischen dem 27. Juli und dem 16. September, Tag der Inbetriebnahme des Pôle
d'échange Stäreplaz, dürfen Passagiere die Tram auf der gesamten Strecke
kostenlos nutzen.
Während der Schueberfouer muss sich die Straßenbahn auf dem Glacis aber mit nur
einem Gleis begnügen.
Diane Lecorsais (www.wort.lu, 25.06.2018)
Per Express-Tram in den Süden
Eine Express-Tram entlang der
Autobahn A4 soll künftig die Hauptstadt und den Süden des Landes "schnell und
zuverlässig" miteinander verbinden. Am Montag stellte Infrastrukturminister
François Bausch das Projekt eines "Séieren Tram" vor.
Eine Express-Tram eignet sich am besten
für eine schnelle und performante Verbindung zwischen der Hauptstadt und dem
Süden des Landes. Zu diesem Schluss kommen die Experten des
deutsch-französischen Beratungsunternehmens Transport Technologie Consult
Karlsruhe (TTK), die im Auftrag des Infrastrukturministeriums verschiedene
Transportmittel für die Strecke Luxemburg-Esch überprüft haben.
Die Express-Tram könnte mit einer
Geschwindigkeit von bis zu 100 Stundenkilometern fahren, würde sich äußerlich
nicht von der bestehenden Tram unterscheiden und sie könnte auch auf dem
"klassischen" Tramnetz verkehren, erklärte Marc Perez von TTK. Somit wäre auch
eine direkte Anbindung an zentrale Orte in der Hauptstadt, etwa an das
Kirchberg-Plateau, möglich.
Genaue Streckenführung noch unklar
Konkret würde dies bedeuten: In 37
Minuten von der Place Benelux in Esch bis zur Stäreplaz, in 35 Minuten von Foetz
bis zur Place de l'Europe und in 2o Minuten von Esch-Schifflingen bis nach
Hollerich, wie Marc Perez als Beispiele für die mögliche Reisezeit aufführte.
Die genaue Streckenführung in Esch, in
Foetz und auf der Höhe von Leudelingen bleibt noch zu klären.
Geplant ist aber, dass die Trasse zunächst die Autobahn A4 entlang bis nach
Foetz führt. Dort soll ein wichtiger Pôle d'échange entstehen. Dieser erste Abschnitt könnte bis 2028 Realität sein.
Anschließend geht es weiter in Richtung Industriebrache Esch-Schifflingen und
schließlich, um das Jahr 2035, bis nach Esch und Belval.
Grafik: MDDI
Superbus, Monorail und Co. nicht
geeignet
Neben einer Express-Tram wurden auch
mehrere weitere Transportmittel analysiert. Darunter zunächst
einmal zwei verschiedene Schnellbussysteme, den Bus à haut niveau de
service (BHNS) sowie der Car à haut niveau de service (CHNS). Der Unterschied zwischen Ersterem und Letzterem besteht
darin, dass es im BHNS mehr Steh- als Sitzplätze gibt. Allerdings sind
Stehplätze gemäß Code de la route lediglich innerorts erlaubt, weshalb sich
dieses Transportmittel für die Verbindung Esch-Luxemburg nicht eignen würde.
Der CHNS hingegen verfügt ausschließlich
über Sitzplätze und würde somit höchstens 90 Passagieren Platz bieten. Er würde
den erforderlichen Kapazitäten somit nicht gerecht werden,wie Marc Perez
erklärte. Außerdem würde sich die Einfügung ins Stadzentrum als schwierig
gestalten. Würde der CHNS lediglich den Rand der Hauptstadt anfahren, wäre er
wenig attraktiv. Würde er ins Stadtzentrum hineinfahren, müssten die rund 800
Doppeldeckerbusse dort wenden.
Auch die Variante Monorail bzw. Metro
wurde überprüft. Diese Transportmittel wären für die Strecke Esch-Luxemburg
jedoch vollkommen überdimensioniert, erklärt der Experte. Sie werden in der
Regel bei 100.000 Passagieren pro Tag eingesetzt. Hier liegen wir bei etwa
30.000. Auch von einem städtebaulichen Standpunkt aus wäre die Umsetzung zu
kompliziert beziehungsweise zu kostspielig. Beim Monorail beispielsweise würde
jeweils eine sieben bis acht Meter breite Fläche benötigt.
Komplementär zu anderen
Verkehrsmitteln
Wichtig sei, dass das Projekt
Express-Tram nicht in Konkurrenz zu den anderen Verkehrsmitteln wie Bus und Zug
steht, sondern komplementär dazu. "Man muss sie im Zusammenhang mit den anderen
Infrastrukturen sehen", unterstrich Infrastrukturminister François Bausch. So
soll die Express-Tram beispielsweise an die transversale Superbuslinie im Süden
des Landes gekoppelt werden.
François Bausch zufolge müssen die Details des
Vorhabens nun analysiert werden. Die politische Entscheidung liegt dann aber bei
der künftigen Regierung.
Diane Lecorsais
Luxemburger Wort, 11. Juni 2018
Kommentar : Bausch hat Träume.
Doch ob er sie verwirklichen kann, hängt davon ab, ob seine Partei im Oktober
gestärkt wird, oder ob sie baden geht.
Man kann nur hoffen, dass die
Express-Tram etwas bequemer ausfallen wird, als die Luxtram. Vielleicht wird es
den Grünen diesmal in den Sinn kommen, die Bürger im Vorfeld an der Gestaltung
der Fahrzeuge zu beteiligen, anstatt sie vor vollendete Tatsachen zu stellen.
Ansonsten wird Bauschs Nachfolger
vielleicht auf die Idee kommen, die transversale Buslinie im Süden durch eine
transversale Tramlinie zu ersetzen. Auch könnte man überlegen, die Gleise nach
Frankreich (Audun-le-Tiche, Villerupt, Aumetz, Fontoy) zu verlängern, um auf
diese Weise ein größeres Hinterland und einen größeren Kundenkreis zu
erschließen.
Claude Oswald
5 juin 2018
Il ressort d'un communiqué de presse que le prolongement de
la ligne de tram de l'arrêt Pont Rouge jusqu'à l'arrêt Place de l'Etoile sera
mis en service fin juillet 2018.
Testfaarte vum
Kierchbierg iwwert de Glacis op d'Stäreplaz
An der Nuecht op en Dënschdeg ass den Tram eng éischte Kéier iwwert d'Rout Bréck
op de Lampertsbierg gefuer. An d'Allée Scheffer krout nees Beem. Vum Luc Marteling (RTL.lu)
Luxtram huet mat der Testphas fir den Trançon Kierchbierg-Stäreplaz (Étoile)
ugefaangen.
Vum Arrêt "Rout Bréck - Pafendall", mam Funiculaire, fiert den Tram jo iwwert
d'Rout Bréck, laanscht de Groussen Theater, béit do of, fir dann duerch d'Alleé
Scheffer iwwert de Glacis ze fueren an da via d'Rue Jean-Pierre Probst op der
Stäreplaz unzekommen.
Besonnesch komplizéiert war jo d'Kéier beim Groussen Theater, iwwert der
Zoufaart fir d'Parkhaus, wou zousätzlech Etüden néideg waren - wéinst der
Stabilitéit.
An der Nuecht op Päischtdënschdeg gouf mat den Tester ugefaangen an dunn ass den
Tram iwwert d'Rout Bréck gefuer. Den Test wier gutt verlaf, esou Luxtram an
engem Communiqué um Dënschdeg den Owend. An den nächsten Nuechten ginn no an no
och déi weider Abschnitter bis bei d'Stäreplaz getest.
Antëscht verdéngt d'Allée Scheffer dann och nees hiren Numm, well do goufen
nees Beem geplanzt, si ass also nees eng Allee. Et sinn awer jonk Beem, déi al
ware jo oftransportéiert ginn, wat fir deels hëtzeg Reaktioune gesuergt hat.
LCGB zu Réimech, OGBL am Gronn, Landesverband zu
Bouneweg
Et ass den 1. Mee, den Dag vun der Aarbecht. Et ass deen Dag, wou
d'Gewerkschaften op hir traditionell Maniffen invitéieren.
Vun RTL
De Landesverband huet seng Memberen, wéi gewinnt, an de Casino syndical op
Bouneweg geruff.
De Landesverband bedauert, dass de Lëtzebuerger Staat eng privat Societéit
gegrënnt huet, fir den neien Tramsreseau an der Stad ze bedreiwen. D’Regierung
hätt den ëffentleche Statut bewosst ëmgaangen, esou den neien President vum
Landesverband Georges Merenz um Dënschdeg de Moien.
Bei LuxTram géif et inakzeptabel Aarbechtskonditioune fir d’Salariéen. De
Landesverband fuerdert dofir e Kollektivvertrag fir LuxTram. Allerdéngs géif
d’Direktioun d’Verhandlungen immens zéi maachen. De Landesverband schwätzt vun
enger sozialer Diktatur.
D’Aarbecht vum Transportminister François Bausch gouf gréisstendeels begréisst.
Allerdéngs géif ee faulen Apel duergoen, fir dass e ganzen Uebstkuerf faul gëtt,
betount den Georges Merenz.
D’CFL ginn iwwerdeems opgefuerdert, sech z’engagéieren, fir déi geplangte Streck
vun der Stad op Esch ze bauen an ze bedreiwen. Dat sollt eng Zuchstreck ginn, a
keng Tramslinn, mengt de Landesverband.
Et ass och d’Fuerderung fir Bus an Tram an der Stad besser ze koordinéieren.
De Landesverband weist sech iwwerdeems solidaresch mat den Salariéë vun der
franséischer SNCF, déi zanter Woche géint eng Liberaliséierung vum Zuchreseau a
Frankräich demonstréieren a streiken. De Landesverband schwätzt sech nach fir de
generellen Tiers-Payant aus, an och fir eng séier Erhéijung vum Mindestloun.
Kommentar : Et stellt ee sech d'Fro, wou bei der Grënnung vu
Luxtram déi warnend Stëmm vun de sozialistesche Parteikollege war ?
Et muss ee sech allerdings och d'Fro stellen, wéi "rout" oder "sozial" déi
Gréng nach sinn ? Do huet ee munchmol den Androck, dass hir Spëtzeleit beim
Neoliberalismus ukomm sinn.
Aus ménger Siicht wier et méi logesch gewiescht, dem AVL d'Exploitatioun vum
Tram unzevertrauen, sou wéi dat bei aner Bus- an Tramsbetriber am Ausland de
Fall ass. Da kënnt een och Bus an Tram besser koordinéieren.
Mä sou wéi et ausgesäit, wollten eis rout, gréng, blo a schwaarz Politiker
onbedingt verhënneren, dass d'Tramsleit de Gemengebeamtestatut kréien. Mat aner
Wierder, eis Politiker hu fir de soziale Réckschrëtt gestëmmt.
Claude
Testphase beginnt Ende Mai Trambahn fährt vor dem 1. August bis zur Stäreplaz,
neuer Busfahrplan folgt zur Rentrée
VON DIANE LECORSAIS
Das genaue Datum, an dem die drei nächsten Haltestellen in Betrieb genommen
werden, steht noch nicht fest. Sicher ist aber: Die Tram fährt vor dem 1. August
bis zur Stäreplaz.
Tramfahrzeuge sind auf der Stäreplaz noch nicht in Sicht. Doch haben die
Gleise die Place de l'Etoile inzwischen erreicht (das LW berichtete) – und es
gibt einen konkreten Termin für die ersten Probefahrten. „Die Testphase des
Teilstücks zwischen Pont Rouge und Stäreplaz beginnt in der letzten Mai-Woche“,
erklärt Luxtram-Sprecherin Françoise Frieden auf LW-Nachfrage hin. Im Zuge
dieser Etappe soll zudem das genaue Datum der Inbetriebnahme der Haltestellen
Theater, Faïencerie und Stäreplaz kommuniziert werden. Fest steht: „Die Tram
wird den Fahrgästen vor dem 1. August bis zur Stäreplaz zur Verfügung stehen“,
versichert Luxtram.
Damit widerspricht die Betreibergesellschaft einem RTL-Bericht von Montag.
Der Sender hatte gemeldet, die Tram würde den regulären Fahrbetrieb bis zur
Stäreplaz wohl erst Mitte September aufnehmen – und dort zuvor, also auch
während der Schueberfouer, nur „in seiner Testphase“ Passagiere befördern.
Wie Luxtram präzisiert, wird der Busfahrplan hingegen erst zur Schulrentrée
Mitte September adaptiert. Von diesem Zeitpunkt an werden die Busse aus dem
Westen des Landes vornehmlich den Pôle d'échange Stäreplaz anfahren, wo die
Passagiere auf die Tram Richtung Kirchberg, später auch Richtung Stadtzentrum,
beziehungsweise auf die städtischen Buslinien umsteigen können.
Luxemburger Wort vom Mittwoch, 25. April 2018, Seite 24
Kommentar : Rom wurde nicht an einem Tag erbaut. Ob die Tram
nun am 1. August in Betrieb geht oder erst Mitte September, ist eigentlich
unwichtig. Wichtig ist vor allem, dass beim Bau nicht gepfuscht wird. Nicht dass
hinterher umfangreiche und komplizierte Reparaturarbeiten fällig werden.
Claude
Luxtram SA: Vor einer
sozialen Entgleisung ?
Als Gewerkschaften freut es den OGBL und
den FNCTTFEL/Landesverband, dass die am 10. Dezember 2017eingeweihte neue Trambahn, erste Erfolge in
transportpolitischer Hinsichtaufzuweisen hat. Damit diese Erfolge Bestand haben
und weiter ausgebaut werden können, müssen in sozialpolitischer Hinsicht die
Weichen beim Tramrichtig gestellt werden. Denn damit ein öffentliches
Verkehrsmittel reibungslos funktioniert, muss es über genügend und gut
ausgebildete Mitarbeiter mit annehmbaren Lohn- und Arbeitsbedingungen verfügen.
Dies ist bei der neuen Trambahn bis
jetzt nicht der Fall. Die Arbeitsbedingungen bei einem Transportbetrieb sind
nicht nur in sozialpolitischer Hinsicht von Bedeutung. Sie sind darüber hinaus
absolut wichtig, um einen sicheren Betriebzu gewährleisten, dies im Interesse der Belegschaft, der
Trambahnbenutzer und sämtlicher Verkehrsteilnehmer.
Zurzeit ist die Gesamtschichtdauer bei
Luxtram SA auf 13 Stunden festgelegt. Bei den RGTR-Busbetrieben beträgtdiese Gesamtschichtdauer 11 Stunden und bei der Eisenbahn 10
Stunden. Es stellt sich hier die Frage warumdas Großherzogliche Reglement, das die Arbeitsbedingungen bei
der Eisenbahn regelt, nicht bei der neuen Trambahn angewendet wird ? Schließlich
weist ein Trambetrieb viele Ähnlichkeiten mit der Eisenbahn auf. Dies sowohl was
die Reglung des Fahrbetriebes, den Unterhalt des Materials und der festen
Anlagen als auch das Fahren der Trambahnen betrifft. Die Tramfahrer müssen
gleichzeitig den Anforderungen eines Eisenbahnlokführers und denen eines
Busfahrers gerecht werden.
- Sie fahren über Schienen, auf denen
sie nicht ausweichen können und auf denen der Bremsweg länger ist alsauf der Straße !
- Sie müssen Signale beachten !
- Sie werden bei Überfahren eines
Haltesignals nicht automatisch gebremst !
- Sie müssen auf sämtliche Straßenverkehrsteilnehmer
achten !
- Sie müssen insbesondere auf die vielen Fußgänger
achten, die die Schienen überqueren !
Deshalb ist es im höchsten Maße
unverantwortlich, diesen Mitarbeitern eine Gesamtschichtdauer von 13 Stunden
zuzumuten !
Auch die Lohnbedingungen bei Luxtram SA
entsprechen keineswegs den Standards, wie sie hierzulande in denöffentlichen und privaten Transportbetrieben üblich sind.
Hier besteht ein erheblicher Nachholbedarf. Der Staat und die Gemeinde Luxemburg
sind als Kapitaleigner bei Luxtram SA gefordert !
Im Rahmen der laufenden
Kollektivvertragsverhandlungen bei Luxtram SA fordern die Gewerkschaften OGBL
undFNCTTFEL/Landesverband die konsequente Anpassung an die
Lohnbedingungen und Arbeitsbedingungen im öffentlichen Dienst. Die
Generaldirektion der Tramgesellschaft erklärte den Gewerkschaften, kein
erhandlungsmandat betreffend dieser wesentlichen Punkte seitens des
Verwaltungsrates zu besitzen. Deshalb fordern die Gewerkschaften OGBL und
FNCTTFEL/Landesverband die Regierung und die politische Führung der Gemeinde
Luxemburg dazu auf, ihre Vertreter im Verwaltungsrat von Luxtram SA damit zu
beauftragen, der Generaldirektion der Tramgesellschaft die notwendigen
Verhandlungsmandate zu erteilen.
Mitgeteilt vom OGBL und dem FNCTTFEL/Landesverband
(in : Le Signal, 18. April 2018)
Kommentar : Es ist eigentlich seltsam,
dass die Politik in einem Wahljahr die MitarbeiterInnen von Luxtram so
stiefmütterlich behandelt.
Oder sollte es etwa zutreffen, was mir ein AVL-Mitarbeiter
anvertraute : Bei Luxtram arbeiten hauptsächlich französische Grenzgänger, und
die haben bekanntlich kein Wahlrecht. Also braucht man sich nicht um sie zu
kümmern und muss ihnen keine Zugeständnisse machen.
Es ist eine Schande !
Claude
Eine Tram nach Süden
Lex Kleren
Demnächst auch in der Minetteregion? Minister Bausch will das Tramnetz nach
Süden ausdehnen.
Am 19. April wird Nachhaltigkeitsminister François Bausch in einer
Orientierungsdebatte die künftige Mobilitätspolitik vorstellen. MoDu 2.0 sollte
Antworten auf viele Fragen liefern. Dabei werden auch neue Tram-Pläne eine Rolle
spielen.
Infrastrukturminister François Bausch hat die Idee am Donnerstag erneut ins
Spiel gebracht: Warum nicht eine Verlängerung der hauptstädtischen Tram über
Hollerich hinaus Richtung Süden, an der A 4 entlang bis nach Foetz und
Esch/Alzette? Bausch hat diese Idee bereits mehrere Male erwähnt, ohne aber
konkret zu werden, dies mit Verweis auf laufende Studien.
Warten auf die Studie
„Wir haben eine Studie in Auftrag gegeben, die alle Optionen analysiert hat. Sie
wird im Juni abgeschlossen sein, ich kann aber jetzt schon sagen, dass die Tram
als effizienteste Lösung zurückbehalten wurde“, so Bausch. „Da der sektorielle
Leitplan Transport genau wie die anderen Leitpläne Ende April im Ministerrat
verabschiedet werden soll und dort auch die Tramerweiterung Richtung Süden
bereits eingezeichnet ist, habe ich die Information jetzt veröffentlicht,
erklärt Bausch. „Die Abgeordneten können sich dann im Rahmen der
Orientierungsdebatte bereits in die Diskussion einbringen.“
Die Trasse würde parallel zur A 4 verlaufen, in Foetz könnte eine große
Umsteigplattform mit P&R entstehen. Zudem könnte die Tramlinie über die
Industriebrache Schifflingen weiter bis ins Universitätsviertel Belval
verlängert werden.
Von Uni zu Uni
Auch das sehr schnell wachsende Leudelingen wäre so an ein effizientes
öffentliches Transportmittel angebunden. In Hollerich soll die neue Linie über
den Boulevard de Merl via Place de l'etoile an das Tramnetz angebunden werden.
Zum Einsatz käme, anders als in der Hauptstadt, ein Trammodell, welches
Geschwindigkeiten von bis zu 100 km/h erreichen würde. Zugleich wäre die Tram
aber auch innerorts einsetzbar.
Die Aussicht einer modernen Trambahn, welche durchgehend vom Findel bis nach
Belval fährt und pro Fahrt bis zu 600 Passagiere befördern kann, ist durchaus
verlockend. Der Verkehrsfluss auf der A4 würde wegen der eigenen Trasse nicht
behindert, die Fahrtzeiten könnten flexibel gestaltet werden. Sozusagen als
Nebeneffekt würden beide Universitätsstandorte per Tram miteinander verbunden
werde. „Die Studie hat klar aufgezeigt, dass besonders diese Verkehrsanbindung
zwischen Luxemburg und Esch/Alzette extrem belastet ist und weiter wachsen wird,
so Bausch.
Lange Vorgeschichte
Pläne zum Ausbau dieser Verbindung gab es bereits in der Vergangenheit: Während
der damalige Transportminister Henri Grethen bereits 2003 eine neue direkte
Zuglinie Esch/Alzette-Luxemburg konkretisieren wollte, so kam später mit dem
Regierungswechsel die Absage. Man wollte sich auf eine neue Busspur zwischen den
beiden größten Städten des Landes konzentrieren, hieß es damals. 2015 sprach
sich sein Nachfolger François Bausch konkret für eine solche Busspur zwischen
Steinbrücken und Leudelingen-Süd aus. Demnach sollte auf der A4 zwischen
Esch/Alzette und der Hauptstadt eine zu Spitzenstunden für den öffentlichen
Transport reservierte Spur eingerichtet werden.
Ende 2016 bringt das Nachhaltigkeitsministerium dann den Superbus ins Spiel: Auf
der künftigen Bustrasse entlang der A4 soll ein sogenannter bus à haut niveau de
service, die Minettemetropole mit der Hauptstadt verbinden. Allerdings wird
diese Idee im Dezember vergangen Jahres wieder fallen gelassen. Wohl vom
Sympathierückenwind der Tram in Luxemburg-Stadt getragen, zieht François Bausch
dieses Verkehrsmittel seit einigen Monaten nun auch als Möglichkeit einer
Direktanbindung zwischen Esch/Alzette und Luxemburg in Betracht. Bausch spricht
in diesem Kontext von einem Umsetzungszeitraum von 10 bis 15 Jahren. Aber die
Idee ist jetzt erst mal in der Öffentlichkeit und andere werden sich mit ihr
beschäftigen müssen.
Kommentar : Man darf gespannt sein auf die Alternativen die
im kommenden Wahlkampf vorgeschlagen werden : Monorail, Seilbahn, U-Bahn, Ausbau
der Escher Autobahn auf 2 x 3 Spuren ...
Aber wie sagte doch gleich Wladimir W. Putin : "Geschichte schreibt
derjenige, der den Krieg gewinnt."
Eine Tram bahnt sich ihren Weg
In Howald führt die Trasse über
Privatgrundstücke; die Verhandlungen laufen
VON DIANE LECORSAIS
Im Hinblick auf die Tramstrecke muss die Rue des
Scillas um einiges verbreitert werden. Im Gespräch mit dem LW erklärt Minister
François Bausch, was genau dies für die ansässigen Geschäftsleute bedeutet, für
die Anrainer – aber auch für den Ort Howald im Allgemeinen.
Sie ist schon etwas speziell, die Rue
des Scillas in Howald. Nicht riesengroß, aber auch nicht gerade klein, und stets
viel befahren. Sie strahlt einen Hauch Vorstadtflair aus. An ihr liegen
Geschäfte, Restaurants, aber auch ein industrieller Betrieb, eine Tennishalle,
ein Gewerbegebiet, Büros. Ein etwas gewöhnungsbedürftiger, bunter Mix, könnte
man sagen. Und ein Areal, das sich mit der ebenso bunten Tram in den kommenden
Jahren stark verändern wird ...
Damit die Straßenbahn, aus Richtung
Hauptbahnhof kommend, überhaupt erst durch die Rue des Scillas fahren kann, muss
diese zunächst ausgebaut werden. 34,25 Meter wird sie breit, mit jeweils zwei
Fahrspuren pro Richtung für den Individualverkehr, zwei Bahnen für die Tram,
zwei Grünstreifen sowie Fußgänger- und Radwegen auf beiden Seiten.
Infrastrukturminister François Bausch spricht von einem der bedeutendsten
Projekte im Hinblick auf die Entwicklung im Südwesten der Hauptstadt – „ein
Projekt, ohne das das Viertel verkehrsmäßig nicht weiter funktionieren kann“.
Gestern wurde das Vorhaben mit voraussichtlichem Kostenpunkt von
130 Millionen Euro im Ministerrat gutgeheißen.
Nun führt die Tramtrasse jedoch über diverse
Terrains, die dem Staat (noch) nicht gehören – und mit deren Eigentümern derzeit
verhandelt wird. Parallel dazu haben die Behörden eine Klassierung der Zone als
„d'Utilité publique“ in die Wege geleitet (das LW berichtete). „Eine ganz normale Prozedur, die in jedem Gesetz drinsteht“,
so Bausch.
Staat benötigt mehrere Parzellen
Bei der „Utilité publique“ handelt es
sich demnach zwar sehr wohl um das Statut, das eine Enteignung der
Grundstücksbesitzer durch den Staat möglich macht – weil ein öffentliches
Interesse an dem Projekt besteht. Falls Staat und Eigentümer demnach nicht zu
einem Konsens finden würden, könnte Ersterer auf die Möglichkeit einer
Expropriation zurückgreifen. Bausch zeigt sich allerdings zuversichtlich, dass
das in diesem Fall nicht nötig sein wird. Zum Teil sei man sich bereits einig
geworden – zum Teil würden noch Gespräche geführt.
Ganz unten an der Rue des Scillas
befindet sich zunächst einmal das Cactus-Hobby-Geschäft. Von dem Gelände werden
den Plänen zufolge lediglich einige Meter benötigt – und zwar dort, wo sich
heute Parkflächen befinden. Ob das Geschäft trotzdem bestehen bleibt, ist nicht
bekannt – Cactus wollte sich nicht zu der Angelegenheit äußern.
Direkt daneben befindet sich das Areal,
auf dem der Betrieb Bétons Feidt angesiedelt ist. Im Gespräch mit dem LW hatte
sich Inhaber Ferd Feidt zuletzt besorgt über die Sit-uation und um die Zukunft
seiner Firma gezeigt, zugleich aber auch erklärt, dass man bislang eng mit den
Behörden zusammengearbeitet habe. Wie Minister Bausch nun präzisiert, wird
lediglich ein Teil dieses Grundstücks benötigt und der Zugang zum Gelände bleibt
bestehen. Der Minister spricht seinerseits von „ganz positiven Gesprächen“ mit
dem Unternehmer. Einig geworden ist man sich aber offenbar noch nicht. Will
heißen: Im Hintergrund wird weiterhin gefeilscht; Details sind nicht bekannt.
Ein paar Meter weiter befindet sich eine
Gewerbezone mit Einzelhandelsgeschäften. Die Verbreiterung der Rue des Scillas
bedingt, dass das Restaurant „Buffalo Grill“ weichen muss, genau wie ein Teil
der Läden. Laut François Bausch hat man sich hier bereits mit der
Eigentümergesellschaft einigen können, eine entsprechende Konvention zwischen
Besitzer, Staat und Gemeinde Hesperingen sei unterzeichnet. Zwischen diesem und
dem nächsten Terrain, auf dem sich ein Gewerbebau befindet und mit dessen
Eigentümer derzeit ebenfalls noch verhandelt wird, wird die Tram nach rechts
abbiegen und so zum Pôle d'échange Gare Howald gelangen. Hier werden nicht nur
die Tram und die Eisenbahn anhalten, sondern auch Busse, wird dort doch ein
neuer Busbahnhof geschaffen.
Auch Anrainer betroffen
Neben Betrieben sind von dem Vorhaben in der Rue des
Scillas aber auch einige Anrainer betroffen. Nicht weit entfernt befindet sich
eine Wohnstraße, die Rue Auguste Scholer. Hier werden einige Hauseigentümer
Teile ihres Gartens abtreten müssen. „Wir haben den Anwohnern aber versprochen,
dass wir einen Schallschutz installieren“, erklärt François Bausch.
Letzten Endes werde das Viertel von der
Gesamtentwicklung profitieren: „Der Staat baut eine Infrastruktur, die zu einer
Aufwertung der Grundstücke führt“, versichert der Minister. Die Anrainer bekämen
eine Tramstation in unmittelbare Nähe; die Rue des Scillas werde von einer
„hässlichen Straße durch die Industriezone“ zu einem „urbanen Boulevard“. Auch
wird die Drosbach teilweise renaturiert. „Die Menschen bekommen eine
100-prozentige Verbesserung.“
Die Rue des Scillas ist allerdings nur ein Abschnitt
der teilweise neu zu errichtenden Nationalstraße N3.
Letztere beginnt am Hauptbahnhof, führt von dort aus über den Pont Buchler und
einen Teil der Route de Thionville, bevor es neu nach rechts Richtung Howald
geht. Von dem Gesamtvorhaben betroffen ist daher auch der Rangwee. Dort benötigt
der Staat ebenfalls Parzellen – laut Bausch ein Einfamilienhaus und drei weitere
zumindest teilweise. Auch hier seien Gespräche mit den Eigentümern im Gange.
Womit die Ausmaße der beiden miteinander
verknüpften Großprojekte – Tram und Nationalstraße N3 – deutlich werden. Die
Arbeiten in der Rue des Scillas sollen Bausch zufolge jedenfalls Ende 2019
beginnen, das entsprechende Gesetz noch vor der Sommerpause verabschiedet. Zwei
Jahre soll der Ausbau der Straße in Anspruch nehmen.
Luxemburger Wort vom Samstag, 17. März
2018, Seite 34
Kommentar :
Vielleicht hätte man besser schreiben sollen : “Eine hässliche Tram bahnt sich
ihren Weg.”
36 Anwohner der Place de l'Etoile in der Hauptstadt klagen über den
Baustellenlärm, der ihnen schlaflose Nächte bereitet. Sie haben eine Petition
lanciert und behalten sich weitere Aktionen vor, sollte sich die Lage nicht
verbessern.
„Seit mehr als einem Monat sind die Bürger, die in der direkten Umgebung der
Place de l'Etoile (Rue de Rollingergrund, Rue du Charly, Rue Jean-Pierre Probst,
Boulevard Grande-Duchesse Charlotte, Rue Jean-Pierre Brasseur, Val Saint-Croix)
wohnen, massiven und unaufhörlichen Lärmbelästigungen ausgesetzt, in der Woche
und am Wochenende“, heißt es in der Petition des Collectif des résidents
aux alentours directs de la Place de l'Etoile, die Ende Februar an
Infrastrukturminister François Bausch, Bürgermeisterin Lydie Polfer und die
Straßenbauverwaltung geschickt wurde.
Allgemeiner Überdruss
In der Petition beschweren sich 36 Bürger über den nächtlichen Baustellenlärm,
der ihnen zu schaffen macht. Einige Anwohner seien wiederholt bei der Polizei
vorstellig geworden und hätten sich wegen des exzessiven Lärms nachts zur
Baustelle begeben. „Zu diesem Zeitpunkt stellen wir einen allgemeinen Überdruss
fest“, so das Kollektiv.
Im Sommer werde unter anderem der Bau der Umsteigeplattform auf der Stäreplaz
fertiggestellt sein. Es stehe außer Frage, dass die Anwohner die nächtliche
Belästigung noch weitere Monate erdulden, so das Anwohnerkollektiv. Falls das
Recht der Bürger auf eine gewisse Nachtruhe von den öffentlichen Stellen nicht
berücksichtigt werde, zögen die Bürger weitere Aktionen in Erwägung.
In einer ersten Stellungnahme hatte die Straßenbauverwaltung darauf hingewiesen,
dass die nächtlichen Arbeiten unerlässlich seien. Weil sie die Lebensqualität
der Anrainer bedeutend beeinträchtigten, würden sie auf ein striktes Minimum
reduziert.
Nächtliche Baustelle an diesem Wochenende
Für dieses Wochenende und die Nächte vom 28. bis 31. März hat die Administration
des Ponts et Chaussées nun weitere Arbeiten angekündigt. Aufgrund des
Straßenverkehrs seien sie tagsüber nicht durchführbar, so die Argumentation.
Über das plötzliche Kommuniqué der Straßenbauverwaltung zeigt sich Jo Wagener
vom Kollektiv indes wenig erfreut: „Die Mitteilung bestätigt die Arroganz und
Ignoranz der Obrigkeiten gegenüber einer Aktion, die von 95 Prozent der
betroffenen Bewohner unterstützt wird.“
Kommentar : Trambau ist wie im
Krieg. Es kommt immer wieder zu Kollateralschäden.
Wie die Tram "den Houwald erop" kommt
Diane Lecorsais
Wenn die Tram bis zur Cloche d'Or fährt, wird sie die Ortschaft Howald
durchqueren. Dies bedingt nicht nur eine Umgestaltung der Rue des Scillas,
sondern auch, dass ansässige Unternehmen Platz machen. Eine der betroffenen
Firmen ist Bétons Feidt.
2021 soll die Tram die komplette Strecke zwischen Findel und Cloche d'Or
bedienen. Ende vergangenen Jahres waren die entsprechenden Verlängerungen von
der Gare centrale bis zur Cloche d'Or sowie von Kirchberg zum Flughafen Findel
vom Parlament gebilligt worden. Derweil die Strecke von der Luxexpo zum
Flughafen in erster Linie an der Autobahn A1 entlang und damit nicht direkt
durch eine Ortschaft führt, sieht es auf der anderen Seite, zwischen Gare
centrale und Cloche d'Or, etwas anders aus. Der Ausbau der Tramtrasse macht dort
verschiedene städtebauliche Anpassungen notwendig – und wird einige Umzüge
erfordern.
„D'utilité publique“
Die 4,9 Kilometer lange Strecke wird zum größten Teil über die neue
Nationalstraße N3 verlaufen. Sie führt zunächst über den Pont Büchler und einen
Teil der Route de Thionville. Von dort aus geht es am Centre de remisage der CFL
vorbei bis in die Nähe des Lycée Technique de Bonnevoie, dann an den Gleisen
entlang in die Rue des Scillas, weiter zum Bahnhof Howald und schließlich durch
den Ban de Gasperich bis zum neuen Fußballstadion in Kockelscheuer.
In Bezug auf den Streckenabschnitt durch die Rue des Scillas gilt es allerdings
noch einige Punkte zu klären. Nicht nur muss die Straße im Hinblick auf die Tram
verbreitert werden. Auch führt die Trasse durch diverse Grundstücke, die dem
Staat (noch) nicht gehören – und mit deren Eigentümern derzeit verhandelt wird.
Parallel dazu haben die Behörden eine Klassierung der Zone als „d'utilité
publique“ in die Wege geleitet. Dabei handelt es sich um das Statut, das eine
Enteignung der einzelnen Grundstücksbesitzer durch den Staat möglich macht –
weil ein öffentliches Interesse an dem Projekt besteht.
„Bedrohliche Situation“
Ein Umstand, der dem Unternehmer Ferd Feidt, einer der betroffenen
Grundstücksbesitzer, Sorge bereitet. Seit 1971 unterhält Bétons Feidt eine
Niederlassung in Howald – „ein idealer Standort“, wie Feidt sagt. Doch wird der
Betrieb bald Platz für die Tram machen müssen. „Wir sind ein Unternehmen, das
ganz große Schwierigkeiten hat, einen Ersatzplatz zu finden“, sagt der
Unternehmer. Er spricht denn auch von einer „bedrohlichen Situation“ für seinen
Betrieb. „Wir müssen uns Fragen zur Zukunft unserer Firma stellen“, so Feidt.
Vom Staat fordert er daher Unterstützung bei der Suche nach einer Alternative.
„Wir wollen eine Garantie dafür, dass wir unsere Arbeit an einem anderen
Standort fortsetzen können.“
Feidt zufolge habe man bislang eng mit den Behörden zusammengearbeitet. Dass
sein Betrieb im Stich gelassen wird, kann sich der Unternehmer denn auch nicht
vorstellen. Doch er stellt klar, dass man erst zufrieden sei, wenn eine Lösung
vorliegt. „Der Staat muss sich bewusst sein, dass unser Überleben auf dem Spiel
steht.“
Streckenverlauf wurde abgeändert
Nun ist das Tram-Projekt seit Jahren in Planung. Feidt erklärt hierzu, dass die
Trasse zu Beginn eigentlich gar nicht durch Howald führen sollte. Als dann die
aktuelle Streckenführung beschlossen wurde, habe sich die Firma nach einer
Alternative umgesehen.
Dem Unternehmer zufolge war eine solche denn auch bereits komplett ausgearbeitet
worden, dies in der nahe gelegenen Rue Orchimont. Doch sei dieses Vorhaben
letztendlich geplatzt – und nun eben die Prozedur zur Klassierung seines
Terrains als „d'utilité publique“ lanciert. „Was die Sache nicht gerade
einfacher macht“, kommentiert Feidt.
„Normale Vorgehensweise“
Vonseiten des Ministeriums heißt es zu der Angelegenheit, dass es „ganz normal“
sei, dass im Kontext der Planung der neuen Nationalstraße N3/Rue des Scillas
eine Klassierung zu einer „Zone d'utilité publique“ in die Wege geleitet wird.
„Das ist eine generell übliche Prozedur, um sich abzusichern. Es bedeutet jedoch
nicht, dass automatisch eine Enteignung erfolgt“, erklärt Ministeriumssprecherin
Dany Frank. „Eine Enteignung steht in diesem Fall ganz klar nicht zur
Diskussion. Im Gegenteil, wir führen gute und konstruktive Gespräche mit
sämtlichen Grundstückseigentümern.“
Für die Firma Feidt drängt jedoch allmählich die Zeit. Schließlich soll die Tram
schon 2021 in Howald fahren. Wie viele weitere Grundstücksbesitzer betroffen
sind, ist unklar. Fest steht jedoch, dass sich an der künftigen Trasse mehrere
Geschäfte befinden, auf die das Projekt Auswirkungen haben wird. Um die
Modalitäten dazu zu regeln, wird laut Ministerium eine Konvention zwischen der
Gemeinde Hesperingen, den Eigentümern und dem Staat ausgearbeitet. Die
Räumlichkeiten des Tennisclub Howald seien hingegen nicht vom Tram-Projekt
betroffen. Was die Anrainer aus der Rue Auguste Scholer betrifft, so sei man mit
diesen im Gespräch.
Ende der Woche wird sich übrigens der Ministerrat mit dem Dossier Rue des
Scillas befassen.
Dass ausgerechnet die einstige Tramgegnerin Polfer bei Pressekonferenzen
auftritt, um sich mit der Tram zu brüsten, ist schon ein starkes Stück. Es ist
einfach nur widerlich.
Ansonsten taugen die Zahlen nicht viel und beweisen nichts : Man hätte auch
schreiben können, statt der erwarteten 40.000 Fahrgäste würden deren nur 17.000
am Tag mit der Tram fahren, also knapp die Hälfte. Und diese 17.000 sind sowieso
zum großen Teil "Zwangsrekrutierte", also Menschen denen die Busverbindung
weggenommen wurde, und die gezwungenermaßen mit der Tram fahren. Den
Generaldirektor von Luxtram André Von der Marek wird das nicht aus der Ruhe
bringen.
Direkt witzig klingt Polfers Aussage, in der Avenue de la Liberté werde die Tram
ohne Stromkabel fahren, damit das Stadtbild nicht unnötig verschandelt werde.
Allein die Tramwagen mit ihrem fragwürdigen Design sind doch Verschandelung
genug.
Aber man wollte die Bürger ja nicht fragen. Man hat die Entscheidung lieber im
kleinen Kreis getroffen. Von "partizipativer Demokratie" wollten selbst die
grünen Weltverbesserer nichts wissen. Luxemburg ist eben leider keine
Demokratie, sondern eine Demokratur. Das Volk bekommt seine Meinung von oben
herab diktiert, wie einst vom Predigtstuhl in der Kirche.
Es ist eine Schande.
Ausschließlich elektrische Busse
journal.lu - 09.02.2018
Nachhaltigkeits- und Infrastrukturminister François Bausch stellt
RGTR-Buslinie 305 zwischen Bettemburg und Düdelingen in Dienst
Eine Flotte von sieben elektrischen Bussen des Typs „VDL Citea LLE-99 Electric“
wird künftig die RGTR („Régime Général des Transports Routiers“)-Linie 305, die
die Städte Bettemburg und Düdelingen über den „Krakelshaff“ und die
Industriezonen „Riedgen“ und „Schéleck“ miteinander verbindet, bedienen. Gestern
Vormittag wurde die Elektro-Buslinie von Nachhaltigkeits- und
Infrastrukturminister François Bausch in Bettemburg eingeweiht.
Dekarbonisierung des öffentlichen Personennahverkehrs
Die elektrische RGTR-Buslinie 305 stellt nach des Ministers Worten eine
wichtige Etappe für die Elektrifizierung und somit für die Dekarbonisierung des
öffentlichen Personennahverkehrs dar. Die auf dieser Linie eingesetzten
elektrischen Busse sind mit zwei Ladesystemen ausgestattet: Das „Overnight
charging“-System wird genutzt, um die Busse während der Nacht zu laden und das
„Opportunity charging“-System erlaubt es, die Busse während einer Pause zwischen
zwei Fahrten aufzuladen. Die Ladestationen wurden auf dem Gelände des
Busbetreibers „Autocars Pletschette“ eingerichtet.
2 € fir 2 StonnenVun elo un ass den Tram net méi gratis
Zanter dem 10. Dezember, wou den éischten Tracé ageweit gouf, bis e Mëttwoch
huet een näischt musse bezuelen, wann ee mam Tram matgefuer ass.
Déi Phas ass awer elo eriwwer. Vun en Donneschdeg u kascht eng Faart 2 Euro. Den
Ticket ass zwou Stonne valabel a gëllt och fir all aner ëffentlech
Transportmëttel.
Op deene verschiddenen Arrête vum Tram kann een en Ticket kafen.
Et ass och méiglech, en Ticket fir 4 Euro ze kafen, deen ass dann de ganzen Dag
valabel.
Den Tram fiert jo aktuell op 4,4 Kilometer um Kierchbierg. 8 Arrête gëtt et vun
der Luxexpo bis bei d'Rout Bréck.
Dat heescht, wann ee mam Bus oder mam Zuch vun ausserhalb der Stad kënnt, muss
een 2 Euro bezuelen, fir um Kierchbierg mam Tram ze fueren.
Fir de ganzen Dag mam Tram op an of ze fueren, kritt een e Billjee fir 4 Euro.
150 Euro Strof kascht et, wann een
ouni Billjee mam Tram fiert an erwëscht gëtt.
Ausbau der Tram Arbeiten an der Place de l'Étoile haben
begonnen
Veröffentlicht am Montag, 8. Januar 2018 um 08:13
(rc) - Am Montagmorgen haben im Rahmen des Tram-Projekts die Arbeiten an
der Place de l'Étoile begonnen. Bis zum Anfang der Kollektivferien im Sommer
sollen die Schienen liegen.
Die Stäreplaz wird zu einem von neun Pôles d'échange umgebaut: Die Tram soll
dann vom Kirchberg her über den Glacis mit dem neuen Knotenpunkt für Busse aus
dem Westen des Landes verbunden werden.
Die gute Nachricht für die Hauptstädter ist, dass es während der Baustelle zu
keiner kompletten Sperrung der Strecken kommen wird. Das Straßenbauamt Ponts et
Chaussées erklärt, dass es teilweise zu Schließungen kommt, jedoch soll das nur
für punktuelle Verkehrsbehinderungen sorgen. Die betroffenen Straßen sind die
Route d’Arlon (N6), die Rue de Rollingergrund (N12) und die Rue Val
Sainte-Croix.
Richtung Stadtzentrum werden die Arbeiten an den Schienen der Tram währenddessen
fortgesetzt. Ende 2019 soll die Straßenbahn von der Stäreplaz aus weiter über
die Avenue Emile Reuter, den Boulevard Royal und den Pont Adolphe bis hin zur
Place de Paris verkehren.
Warum die Tram in Luxemburg kläglich scheitern wird
VON DANIEL MILTGEN *
Seit langer Zeit hat der Otto-Normalluxemburger ein ambivalentes Verhältnis zum
öffentlichen Personenverkehr (ÖPV) und mehr noch zum öffentlichen
Personennahverkehr (ÖPNV). Der motorisierte Individualverkehr gilt eher als das
geeignete Mittel zur erfolgreichen Befriedigung seiner Mobilitätsbedürfnisse.
Erhärtet wurde dieser Trieb durch eine 40-jährige PPP-Dressur zum Auto unter
anderem infolge einer fast pathologischen Herstellung autogerechter
Siedlungsstrukturen und perfekter technischer Infrastrukturen quer durch das
Land.
Ein historischer Rückblick: Aus durchaus nachvollziehbaren Gründen wurde der
erste Hauptbahnhof nicht auf dem Gebiet der Festungsstadt Luxemburg gebaut.
Militärische Überlegungen der preußischen Garnison führten dazu, dass diese
Bahninfrastruktur auf dem Gebiet der Nachbargemeinde Hollerich errichtet werden
musste, d. h. außerhalb der Festungsanlagen.
Dort sollte der Hauptbahnhof dann auch nach der Schleifung der Festung im
Jahre 1867 definitiv verbleiben. Die feinen Bürger der Hauptstadt wollten
nämlich die Anreise der wenig willkommenen Landbevölkerung mitten in die Stadt
mit dem Zug verhindern. Der Hauptbahnhof verblieb demnach auf dem Gebiet der
Gemeinde Hollerich und wurde erst durch die Eingemeindung im Jahre 1920
Hauptbahnhof der Stadt Luxemburg.
Soviel zur Begeisterung der Stadtluxemburger gegenüber dem schienengebundenen
Transportmittel „Eisenbahn“. Auch war die Freude der Bewohner der Stadt groß,
als im Jahre 1964 die Straßenbahn in der Hauptstadt, nach 89 Jahren Dienst,
abgeschafft wurde.
Des Luxemburgers liebstes Spielzeug wurde, ist und bleibt weiterhin das
Automobil. In der Tat wurden hierzulande quasi sämtliche Rekorde diesbezüglich
gebrochen. Vor drei Jahrzehnten etwa ging die Lehre und Forschung im Bereich der
Verkehrswissenschaft noch von einem maximalen Motorisierungsgrad einer
Bevölkerung von 400 Personenkraftwagen pro 1 000 Einwohner aus. Doch in
Luxemburg war dieser Planungsparameter, um die Grenzgänger bereinigt versteht
sich, bereits längst überschritten. Heute werden im Schnitt tagtäglich 25
zusätzliche Autos angemeldet.
Das tagtägliche Chaos ist offensichtlich, und die nichtwissenwollenden
Politiker glauben immer noch daran, durch den Ausbau bestehender Infrastrukturen
(cf. Düdelinger Autobahn), durch den Bau neuer Straßen (cf. Boulevard de Merl)
und durch die Errichtung autogerechter Trabantenstädte wie Kirchberg, Belval und
Ban de Gasperich, die Verkehrsentwicklung nachhaltig steuern zu können. Es liegt
ihnen jedenfalls fern, Lehren aus den nachweislichen Fehlern der Vergangenheit
zu ziehen, obwohl namhafte Wissenschaftler sie vor ihren eingeschlagenen
Irrwegen warnen.
Aber auch bei der Entwicklung des ÖPNV tun sich hierzulande die politischen
Entscheidungsträger schwer. Betriebsblind und beratungsresistent verfallen sie
immer wieder dem Irrglauben, die Entwicklung in die richtige Richtung zu leiten,
indem sie den Technokraten erlauben, finanziell richtig zu klotzen. Die
Standseilbahn Pfaffenthal-Kirchberg ist ein wunderbares Beispiel zur
Verdeutlichung der Geldverschwendung im großen Stil gepaart mit einer
dauerhaften Stadtbildzerstörung und zweifelhaftem verkehrstechnischen Nutzen.
Weltweit dozieren namhafte Verkehrsexperten seit geraumer Zeit, dass der
größte Feind des Benutzers des ÖPNV, das lästige Umsteigen ist. Die Anzahl
derartiger Knotenpunkte ist also auf ein absolutes Minimum zu reduzieren, sollte
der öffentliche Verkehr zukunftsfähig werden. Zugegeben, die Topografie der
Stadt Luxemburg eignet sich nicht dazu, den Wechsel der Transportmittel optimal
zu gestalten. Wenn aber derartige Knotenpunkte unvermeidlich sind, sollten sie
zumindest kundenfreundlich gestaltet werden. Die misslungene Verknüpfung der
Standseilbahn-Straßenbahn an der roten Brücke verdeutlicht jedenfalls, wie man
es nicht tun sollte.
Angenommen, ein Bewohner der Ökosiedlung in Helmsange ist RTL-Mitarbeiter und
arbeitet demnach in Kirchberg. Die Luftlinienentfernung zwischen beiden
Standorten beträgt etwa 3,04 km. Diesem RTL-Mitarbeiter stehen nun prinzipiell
zwei Alternativen zur Verfügung, um tagtäglich zur Arbeit zu gelangen:
Erstens mit dem eigenen Auto über den Stafelter zur Distanzüberbewältigung
von insgesamt 9,15 km Weglänge. Oder zweitens mit dem ÖPNV. Zunächst muss er
dann mit dem Auto zum Bahnhof Walferdingen fahren, um dann mit dem Zug, sollte
er denn einen Abstellplatz auf dem P&R gefunden haben, zum „Siechenhof“ im
Pfaffenthal zu reisen. Dann weiter mit der Standseilbahn hinauf zum Kirchberg,
von dort mit der Straßenbahn zur vorläufigen „Endstation“ und als letzte Fahrt
mit dem Autobus zu den RTL-Türmen. Für welches Verkehrsmittel wird sich dieser
Verkehrsteilnehmer wohl entscheiden, insbesondere dann, wenn er über einen
reservierten Parkplatz unmittelbar an seinem Arbeitsplatz verfügt?
Apropos Parkplatz am Arbeitsplatz: Die Tatsache, dass eine sehr große Anzahl
von Arbeitnehmern in der Stadt Luxemburg über einen eigenen Parkplatz am
Arbeitsort verfügt, wurde bei der Opportunitätsanalyse über die Straßenbahn
fatalerweise übersehen. Diese äußerst wichtige Komponente ist nämlich
ausschlaggebend dafür, ob der von der Politik gewünschte Wechsel vom
Individualverkehr zum ÖPNV erfolgen wird oder nicht.
Wenn auch heute die Anzahl der zu errichtenden Parkplätze bei Bauvorhaben,
insbesondere bei den Bürogebäuden, laut Bebauungsplan der Stadt Luxemburg stark
begrenzt ist, so war dies in der Vergangenheit keineswegs der Fall. Im
Gegenteil, die Stadt Luxemburg verlangte viel zu lange ein zu hohes Minimum an
Parkplätzen bei der Errichtung neuer Gebäude. Konnte ein Bauherr das Soll aus
technischen Gründen nicht erfüllen, musste er sogar eine Strafe zahlen.
Auf dem Gebiet der Stadt Luxemburg befinden sich heute wesentlich mehr
Parkplätze als jemals genehmigt wurden. Heute versuchen viele Bauherren die
bestehende, restriktive Parkplatzregelung zu umgehen, indem sie beispielsweise
großzügig geplante und genehmigte Archivräume späterhin als Parkplätze
zweckentfremden.
Auch wilde, um nicht zu sagen illegale, Parkplätze sprießen zur Zeit wie Pilze
aus dem Boden: Für die Mitarbeiter der Stadt Luxemburg in der rue Bender, für
die Mitarbeiter des staatlichen Wohnungsbaufonds in der rue de la Déportation,
für die Mitarbeiter der Asta, der Enregistrementverwaltung und der BIL in der
route d’Esch u.v.a.m.
Vielerorts wurden und werden ehemals wunderprächtige grüne Vorgärten in den
alten Villenvierteln Belair, Merl, Limpertsberg und im Bahnhofsviertel
versiegelt und in wertvolle Autoabstellflächen transformiert. Auch größere
Gärten im Stadtgebiet werden immer mehr als illegale Parkplätze genutzt.
Die Mehrheit der Staats- und Stadtbeamten verfügen über einen
innerstädtischen Parkplatz. Jeder Lehrer und jeder Studienbeauftragte verfügt
über seinen Autoabstellplatz unmittelbar auf dem Gebiet seiner Lehranstalt. 100
Prozent aller Staatsbedienstete des Nachhaltigkeitsministeriums und des
Wohnungsbauministeriums im Hochhaus, die einen Parkplatz am Arbeitsort haben
wollten, haben einen solchen in der Parkgarage unter der Philharmonie erhalten.
Der Innenhof des Innenministeriums in der Beaumontgasse ist nicht etwa
begrünt um die Luftqualität der inneren City zu verbessern, sondern ist quasi
zur Gänze asphaltiert und dient einigen auserwählten Beamten als kostbarster
Parkplatz, obwohl hier auch die Dienststelle für Gemeindeplanung und Urbanismus
angesiedelt ist, eine Amtsstelle mit Mitarbeitern, die nicht müde werden
privaten Bauherren vorzuschreiben, was unter städtischer Lebensqualität zu
verstehen ist.
Auch auf dem Kirchberg werden viele Eurokraten mit einem unterirdischen
Autoabstellplatz direkt unter ihrem Büro versorgt. Die Aus- und Einfahrt aus der
Tiefgarage des Verwaltungsgebäudes der Europäische Investitionsbank wird sogar
durch eine Ampelanlage geregelt. Der öffentliche Verkehr wird hier gestoppt,
damit die europäischen Beamten störungsfrei, zu ihrem Parkplatz gelangen können.
Auch das morgendliche Verkehrschaos vor vielen Schulen und Kindergärten zeigt
auf, was das „Virus Auto“ im Kopf der Menschen bereits angerichtet hat.
Die Mehrzahl all dieser Autofahrer wird nicht auf das geliebte, bequeme private
Auto verzichten und leider nicht Kunde des ÖPNV und somit der neuen Tram werden.
* Der Autor ist Ingenieur für Raumplanung und Raumordnung der TU Wien.
Luxemburger Wort vom Samstag, 23. Dezember 2017, Seite 15
Kommentar : Einerseits muss ich dem Autor Recht geben. Die
Fahrzeuge von Luxtram sind nicht unbedingt ein gelungener Wurf.
Andererseits, wenn man Herrn Miltgens Lebenslauf kennt, liest seine Dissertation
sich wie eine Abrechnung mit der Politik. Die Tram liefert womöglich nur das
Alibi.
Er selber - Herr Miltgen - scheint sich der Tatsache bewusst zu sein, dass es
mit dem Auto-über-alles nicht so weitergehen kann wie bisher. Ich vermisse
allerdings seine Lösungsvorschläge. Die bleibt er uns schuldig.
Claude Oswald
Freitag, den 15. Dezember 2017
Die Lokalzeitung "Eschter Tageblatt" weiß zu berichten, dass bei der Tram von
Luxtram nicht alles rund läuft :
Zweite Tram-Panne am Freitagmorgen
Wie Luxtram dem Tageblatt gegenüber bestätigte, trat am Freitag kurz nach 9
Uhr ein Problem zwischen der Straßenbahn und der elektrischen Oberleitung auf.
Als die letzten Passagiere bei der Haltestelle “Pfaffenthal” ausgestiegen waren
und die Tram umkehren wollte, um wieder in Richtung Luxexpo zu fahren, blieb das
Fahrzeug stecken. Verantwortlich dafür war eine Störung mit dem sogenannten
“Pantografen”, dem Arm, der die Tram mit der Leitung verbindet.
Wie Luxtram erklärte, konnte die Tram ungefähr eine Stunde lang nicht fahren,
weil das technische Team mit den Reparaturen beschäftigt war. Danach konnte der
Verkehr wieder aufgenommen werden.
Die Tram hatte am Montagabend, einen Tag nach ihrer offiziellen Eröffnung,
ihre erste Panne, als sie entgleiste.
Donnerstag, den 14. Dezember 2017
Erweiterung der Tram
Am vergangenen Sonntag fiel der Startschuss für die Tram. In Betrieb genommen
wurde die Teilstrecke zwischen "Luxexpo" und "Roud Bréck". Am heutigen
Donnerstag stimmt das Parlament über die Erweiterung der Tramstrecke zwischen
dem Hauptbahnhof und der Cloche d'Or und zwischen dem Circuit de la Foire
internationale und dem Flughafen Findel ab.
Grafik: Michèle Winandy.
Die erste Erweiterung schlägt mit 114,9 Millionen Euro zu Buche, die zweite mit
99,1 Millionen Euro. Beide Strecken sind für Ende 2021 geplant.
Zwischen dem Circuit de la Foire und dem Flughafen (vier Kilometer) hält die
Straßenbahn beim P&R Héienhaff, wo die Passagiere auf RGTR-Busse umsteigen
können.
Zwischen dem Hauptbahnhof und der Cloche d'Or hält die Tram beim Lycée technique
de Bonnevoie (LTB) und auf Howald.
Veröffentlicht am Mittwoch, 13. Dezember 2017 um 20:00
von Rita Ruppert
Nach über 50 Jahren Abwesenheit aus dem Straßenbild müssen sich die Einwohner
wieder mit der Tram vertraut machen. Im Idealfall nicht nur mit der Straßenbahn
als weiterem „Verkehrsteilnehmer“, sondern als Passagier in den modern
gestalteten Fahrzeugen. Ja, die Einwohner sollten auf den öffentlichen Transport
umsteigen, wenn sie nicht im Individualverkehr ersticken wollen.
Es gibt Tage, da geht in Luxemburg verkehrstechnisch gar nichts mehr.
Autobahnen, Landstraßen und sogar Schleichwege sind dann mit Blechkarossen
vollgestopft. Passiert dann auch noch ein Unfall auf der Hauptstadtumgehung – am
besten im morgendlichen oder abendlichen Berufsverkehr –, ist das Chaos
komplett.
Dass dies Folgen für die Wirtschaft hat, ist längst bekannt. Auch die Innenstadt
stöhnt seit Jahren unter den Automassen. Die couragierten Fußgänger und
Radfahrer, die sich dorthin wagen, setzen sich dem Lärm und den Abgasen aus.
Ganz zu schweigen von den Unfallgefahren. Allein im vergangenen Jahr starben
acht Fußgänger und ein Radfahrer auf Luxemburgs Straßen.
Dabei könnte die allmorgendliche Fahrt ins Büro oder der Shopping-Ausflug in die
Stadt so erholsam sein: Stressfrei und preiswert mit Bus, Bahn und Tram. Städte
wie Freiburg, Kopenhagen und Amsterdam haben es vorgemacht, auch in Luxemburg
könnte das Konzept aufgehen. Die Luxemburger müssten dazu allerdings auf das
Auto, ihr liebstes Kind, verzichten.
Um ein Umdenken herbei zu führen, muss die Tramstrecke in den kommenden Jahren
jedoch noch weiter ausgebaut werden – nämlich in Richtung deutsche und belgische
Grenze, damit die Pendler schon dort in die Straßenbahn einsteigen. Dies bedingt
auch, dass ebenda Auffangparkplätze entstehen. Am besten mit Kiosken, wo der
Fahrgast Zeitung, Croissant und Kaffee erstehen kann, auch solche
Annehmlichkeiten ziehen Kunden an.
Last but not least sollten die Fahrpläne im öffentlichen Verkehr besser
aufeinander abgestimmt werden. Wer einmal 30 Minuten auf seinen Anschluss hat
warten müssen, wird kein zweites Mal dem öffentlichen Verkehr den Vortritt
gegenüber dem Automobil geben.
Kommentar :Leider weisen die Fahrzeuge, aber
auch die Haltestellen einige Mängel auf. Niemand unter den Journalisten und
Politikern scheint darauf eingehen zu wollen. Und
dennoch spielt es eine Rolle, wenn die Beinfreiheit in der Trambahn durch große
Radkästen eingeschränkt ist, oder wenn durch eine geschwungene Dachform an der
Endhaltestelle etliche Reisende im Regen stehen. Solche Details können darüber
entscheiden, ob das Trambahnfahren als angenehm oder unangenehm empfunden wird.
Claude Oswald
11 Décembre 2017
Pour plus de détails, cliquez sur l'image.
"Funiculaire" und zwei Haltestellen
Neuzugänge bei der CFL
Standseilbahn wurde binnen zweieinhalb Jahren errichtet
(DL) - Nicht nur für Luxtram ist am Sonntag ein ganz besonderer
Tag, sondern auch für die nationale Eisenbahngesellschaft CFL. Mit
Pfaffenthal und Howald werden zum Inkrafttreten des neuen
Winterfahrplans gleich zwei zusätzliche Zughaltestellen in Betrieb
genommen – und mit der Standseilbahn auch ein für Luxemburg ganz
neues Verkehrsmittel.
Bei besagten drei Elementen handelt es sich jedoch nur um den
Anfang einer ganzen Reihe von Projekten, die derzeit und in den
kommenden Jahren realisiert werden, um der wachsenden Nachfrage
gerecht zu werden.
Wie CFL-Generaldirektor Marc Wengler im Gespräch mit dem
„Luxemburger Wort“ erklärt, sei die Zahl der Zugpassagiere in den
vergangenen zehn Jahren nämlich um mehr als 60 Prozent gestiegen –
„nach langer Stagnation“. Die Takte seien daraufhin nach und nach
erweitert worden, weitere Haltestellen kamen hinzu – in den
vergangenen 15 Jahren insgesamt fünf. An der Struktur des Netzes
habe sich währenddessen jedoch kaum etwas verändert. Aus diesem
Grund seien die beiden neuen Haltestellen in Pfaffenthal und Howald
denn auch eine Herausforderung für die Eisenbahngesellschaft.
Neuer Beruf „Machiniste funiculaire“
Trotzdem spricht der CFL-Generaldirektor im Hinblick auf diese
beiden Stationen von einem „Quantensprung“. Nicht nur wird die
Eisenbahn damit an das Kirchberg-Plateau angebunden, sondern auch an
andere Transportmittel. Für die Passagiere der Nordstrecke sei dies
„ein enormer Vorteil“, so Wengler, könnten sie doch mit einer
Zeitersparnis von rund 20 Minuten rechnen. Insgesamt wird es am Ende
der Ausbauarbeiten drei Punkte geben, wo Tram- und Eisenbahnnetz
aufeinandertreffen – bei der Roten Brücke, beim Hauptbahnhof und in
Howald.
Eine Standseilbahn hat es bei der CFL – und überhaupt in Luxemburg – noch nie
gegeben. So mussten im Hinblick auf dieses neue Transportmittel denn auch neue
Berufsfelder geschaffen werden. Darunter jenes des „Machiniste funiculaire“.
„Ein Team von etwa zwölf Mitarbeitern wird sich um die Standseilbahn kümmern,
darunter in erster Linie die Maschinenbediener, aber auch zwei Betriebsleiter“,
erklärt Marc Wengler. Besagte Mitarbeiter würden denn auch bereits seit über
einem Jahr im Umgang mit dem „Funiculaire“ geschult, dies auch in Österreich und
der Schweiz.
Die Arbeiten in Pfaffenthal schritten unterdessen zügig voran. Erst im Mai 2015
war mit dem Bau begonnen worden, erklärt Marc Wengler. Dabei musste das ganze
Projekt bei laufendem Betrieb realisiert werden; während der Arbeiten wurde
lediglich ein Gleis geschlossen. In den vergangenen Monaten wurde die
Standseilbahn nun diversen Belastungstests unterzogen. „Eine der letzten Phasen
bestand darin, alle möglichen Fehlerquellen einmal durchzugehen“, so Wengler.
Nun sei man betriebsbereit.
Nach der Baustelle ist für die CFL jedoch gleichzeitig vor der Baustelle –
beziehungsweise mittendrin. In Howald wird morgen erst einer von zwei Quais
eröffnet, der zweite wird voraussichtlich 2024 fertiggestellt. Parallel dazu
wird aber auch der Hauptbahnhof um zwei Quais erweitert. Ebenfalls noch in
Arbeit ist der Ausbau des Viadukts Pulvermühle auf zweimal zwei Gleise, dessen
Inbetriebnahme für 2019 geplant ist.
(www.wort.lu)
Alte Bekannte
Vous trouvez un article sur l'ancien tram, paru dans le Luxemburger Wort du 8
décembre 2017, en cliquant
ici.
„Ich musste einige
Überzeugungsarbeit leisten“
CSV-Fraktionschef Claude Wiseler sieht die Tram und die Standseilbahn nur als
Puzzleteile eines gesamten Mobilitätskonzeptes
VON NADINE SCHARTZ
Ich freue mich darüber, dass die Tram nun fährt. Damit ist der erste Schritt
getan“, sagt der CSV-Fraktionschef und vorige Transportminister Claude Wiseler.
Dennoch sieht er der Inbetriebnahme der Straßenbahn und der Standseilbahn mit
gemischten Gefühlen entgegen: „Heute werden diese Projekte als Normalität
dargestellt, aber sie haben mich in meiner Zeit als Minister viel Zeit und
Energie gekostet. Es musste einige Überzeugungsarbeit geleistet werden, um alle
Partner ins Boot zu bekommen.“
Und: „Wenn heute davon gesprochen wird, dass ,Déi Gréng‘ nicht nur jahrelang
geplant, sondern die Tram nach Luxemburg gebracht hätten, stört mich das schon.“
Immerhin sei das Projekt unter seiner Amtszeit komplett ausgearbeitet worden und
er selbst habe den Gesetzestext 2013 deponiert. Dass die Arbeiten in dieser
Legislaturperiode umgesetzt werden konnten, sei nur dank dieser Vorarbeit
möglich gewesen.
Tram ersetzt Milliardenprojekt
Ein Rückblick: Sollte Ende der 1990er-Jahre das Projekt BTB („Bus-Tram-Bunn“)
das Verkehrsproblem lösen, wird dieses Vorhaben um das Jahr 2000 aus technischen
Gründen verworfen. Neue Pläne werden ausgearbeitet. Die nächste Variante sieht
unter anderem eine neue Schienenverbindung vom Hauptbahnhof über Findel nach
Kirchberg bis Dommeldingen vor. 2006 sprechen der Ministerrat und die Stadt
Luxemburg sich aber für die Verwirklichung eines „Tram léger“ aus. Claude
Wiseler erinnert sich: „Als ich im Jahre 2009 Transportminister wurde, lag das
Vorprojekt für die ,leichte Tram‘ vor, dies allerdings mit diversen
Überbleibseln aus der BTB-Zeit, darunter die neue Zugverbindung.“ Ein Projekt,
das satte 1,2 Milliarden Euro veranschlagen sollte.
Doch zu dieser Zeit herrscht die Wirtschaftskrise. Hinzu kommt, dass die
Umsetzung des vorliegenden Projektes diverse Komplikationen, wie etwa der Bau
eines Zugbahnhofes nahe der Luxexpo, mit sich gebracht hätte. „Sowohl zeitlich,
verwaltungstechnisch als auch finanziell war es unmöglich, dies in den Griff zu
bekommen,“ erklärt Wiseler. Die Pläne werden daraufhin überarbeitet, wobei die
Tramtrasse vom Hauptbahnhof bis zum Flughafen verlängert wird.
Aber: „Die Schwachstelle ist der Hauptbahnhof, der trotz seines geplanten
Ausbaus an seine Grenzen stößt.“ Demnach sei nach einem Knotenpunkt gesucht
worden, um den Bahnhof zu entlasten. Die einzige Möglichkeit bietet sich an
jener Stelle an, wo sich heute die Standseilbahn befindet. Ein Projekt, das
ebenfalls unter Claude Wiseler in die Wege geleitet wurde. „Als ich Anfang 2011
vorgeschlagen habe, eine überdeckte Rolltreppe zu bauen, um die 42 Meter
zwischen Pfaffenthal und der Brücke zu überwinden, gab es schon erstaunte
Gesichter. Die Idee an sich, leuchtete ihnen aber ein“, erzählt er. Da diese
Verbindung sich aber nicht für Kinderwagen, Rollstühle oder Fahrräder eignete,
wurde nach und nach das Projekt „Funiculaire“ geboren.
Eine Etappe statt zwei Phasen
„Danach war ich bei den einzelnen Parteien sowie der Stadt Luxemburg, um alle
von dem Projekt zu überzeugen“, so Wiseler. Vor allem die hauptstädtische DP
habe sich schwer getan, aber schließlich doch zugestimmt.
In puncto Bau der Tramtrasse kritisiert er, dass man von den ursprünglichen
Plänen abgesehen habe und die erste Phase nun in zwei Etappen durchgeführt
werde. Anfangs sei nämlich vorgesehen gewesen, die Strecke in einer Etappe vom
Hauptbahnhof in Richtung Luxexpo zu verlegen. „Dadurch wäre die Tram zwar erst
ein Jahr später gefahren, aber man könnte die Menschen direkt dort abholen, wo
sie ankommen – und das ist eben nun mal am Hauptbahnhof“, heißt es.
Hinzu komme, dass der nun fertige Abschnitt mit Abstand die einfachste Trasse
sei. Deutlich schwieriger würden sich die Arbeiten in der Avenue de la Liberté
gestalten, wo der gesamte Untergrund erneuert werden müsse. Auch den
Bustransport hätte man so in einem Zuge organisieren können.
Aber: Mit der Tram allein sei das Verkehrsproblem in und um die Hauptstadt noch
nicht gelöst. Wiseler unterstreicht: „Ich sehe die Tram und die Standseilbahn
nur als Puzzleteile eines umfassenden Mobilitätskonzeptes, das bis über die
Landesgrenzen hinaus funktionieren soll.“ Demnach bedauert er auch, dass man
sich nur auf die Tram konzentriert habe, statt parallel dazu die erforderlichen
Maßnahmen zu treffen, um die Autos aus dem Stadtzentrum heraus zu bekommen. So
seien etwa die notwendige Verwirklichung des Boulevard de Cessange und des
Boulevard de Merl bis dato noch nicht in Angriff genommen worden. „In der
kommenden Legislaturperiode bleibt also noch viel zu tun“, sagt Claude Wiseler.
Luxemburger Wort vom Donnerstag, 7. Dezember 2017, Seite 21
Kommentar : Vielleicht sollte man die Parkfläche für Privatautos im
Stadtzentrum nicht unnötig erweitern, um die Leute nicht zu ermuntern, mit dem
Auto ins Stadtzentrum zu fahren. Ich bin mir nicht sicher, ob die CSV sich in
dieser Frage immer konsequent ist.
Claude Oswald
Invité vun der Redaktioun (7. Dezember) Théid Faber: Politik hat kee
Gestaltungswëlle beim Tram
Invité en Donneschdeg de Moien um 10 op 8 war den Théid Faber, fréiere President
vum Mouvement écologique.
Bäi allen inhaltlechen Ausernanersetzungen, ass et haut onverständlech, datt
d'Politik an der Zäit net dee Gestaltungswëllen hat, dee se hätt missen hunn,
dat sot de laangjärege President vum Mouvement écologique Théid Faber en
Donneschdeg de Moien, am Kontext vum Lancement vum Tram. Deen Tram huet fir de
Mouvement écologique eng grouss symbolesch Bedeitung. Eng Visioun géif
Realitéit. Eng Visioun vun engem anere Stadbild.
Et war net d'Politik mä de Mouvement, deen 1991 d'Iddi vun engem modernen Tram
an der Stad lancéiert huet a carrément auslännesch Konstruktiounsfirmae vu sech
aus ugeschriwwen huet, fir en Tram fir d'Stad ze plangen. Duerch vill Etuden,
laang Diskussiounen an ëmmer nees nei Pläng vu Luxtraffic iwwer BTB a
mobilitéit.lu sollt et um Enn 25 Joer daueren, bis datt de Projet Tram säi
Wee gaang ass.
Vun 92 bis haut, dat wier e ganz laangen Dag, sou den Théid Faber. Déi ganz
Entwécklung hätt eppes vun der Iechternacher Sprangprëssessioun gehat, mat vill
Ausernanersetzungen, Polemik an deels och Ënnerstellungen. Donieft hätt et
duerchaus och inhaltlech Diskussioune ginn, wat da lo déi bescht Variant fir
Lëtzebuerg wier. Ob Train-Tram, e liichten Tram, oder oder.
D'Eisebunnsverbindung vun der Gare op de Findel, déi ënnert anerem aus
Käschtegrënn fale gelooss gouf. Mat der Zäit wier d'Diskussioun awer ëmmer méi
calme gefouert ginn.
Politiker hätten och am Laf vun der Zäit hir Meenung geännert, sou den Théid
Faber en Donneschdeg de Moien.
Lo fiert den Tram also an 3 Deeg. Den Tram ass och fir de Mouvement awer och
nëmmen een Deel vun enger ganzer Mobilitéitsketten. An e stellt d'Politik virun
en neien Defi. Fir datt d'Leit dat neit Verkéiersmëttel an Usproch huelen, misst
garantéiert sinn, datt d'Offer klappt, datt d'Ëmklamme klappt. D'Qualitéit vum
ëffentlechen Transport misst sech verbesseren an d'CFL hir deels systematesch
Retarden ofbauen. Den Tram wier eng riseg Chance, déi ee misst ergräifen, mä
anengems awer och e groussen Defi.
Déi Lénk Stadt haben in einer Mitteilung
auf Facebook die Tram kritisiert. Eigentlich steht die Partei hinter dem
Projekt, doch mit der Bezahlung der Fahrer will sie sich nicht zufrieden geben:
Die Gehälter der Tramfahrer seien zu niedrig. Sie seien “nah am Mindestlohn”, so
der Abgeordnete und Gemeinderat David Wagner auf Nachfrage des Tageblatt. Genaue
Zahlen konnte er aber nicht nennen.
Weiterhin seien für die Tramfahrer, die
meisten würden aus dem nahen Ausland kommen, Schichten von bis zu 13 Stunden
vorgesehen, so die Partei in ihrer Mitteilung: “Mit mindestens ein bis zwei
Stunden Hin- und Rückreise, kann man davon ausgehen, dass den Menschen nur 9
Stunden Privatleben bleiben – schlafen inbegriffen”.
“Ein Tramfahrer sollte soviel verdienen
wie ein Zugfahrer oder ein Busfahrer”, findet Wagner. “Gerade in Hinblick auf
die Diskussionen um den Mindestlohn”. Tatsächlich hatte Arbeitsminister Nicolas
Schmit vor etwa einer Woche die Debatte um den Mindestlohn wieder angefacht,
indem er bei einem Interview auf RTL eine Erhöhung forderte. Der
Koalitionspartner DP reagierte mit Ablehnung auf den Vorschlag des
Arbeitsministers.
Erster Unfall am Freitag
Die Tramfahrer werden von der
Gesellschaft Luxtram eingestellt, die zu zwei Drittel dem Staat und zu einem
Drittel der Stadt Luxemburg gehört. Laut Wagner sei es ein Fehler gewesen, den
Tram, der ja eigentlich ein öffentlicher Dienst ist, nicht als solchen
funktionieren zu lassen. Die anderen Parteien seien in ihrer “liberalen
Denkweise” gefangen und hätten deswegen wohl diese Entscheidung getroffen.
Die Tram, die am kommenden Sonntag ganz
offiziell eröffnet und dann erste Passagiere transportieren wird, hatte an
diesem Wochenende ihren ersten Unfall. Am Freitagabend kurz vor 10 Uhr nahm ein
Auto der Tram die Vorfahrt. Beim Zusammenprall wurde der Autofahrer verletzt.
Transportminister François Bausch (déi gréng) hatte dem Tageblatt gegenüber
kürzlich erklärt, dass es nicht ausgeschlossen ist, dass es mit der Tram als
weiteren Verkehrsteilnehmer zu Unfällen kommen könnte.
“Die Arbeit als Tramfahrer ist nicht
einfach”, so David Wagner. Man müsse immer konzentriert sein und habe mit
Menschen zu tun. Auch deswegen sei es wichtig, dass die Bezahlung stimme. Bei
gutem Arbeitsklima würde man auch besser arbeiten, meint der Abgeordnete.
Kommentar : Nicht nur die Fahrzeuge von
Luxtram lassen zu wünschen übrig. Auch die Arbeitsbedingungen und die Entlohnung
der Tramfahrer sind nicht zufriedenstellend, obschon der Staat und die Stadt
Eigentümer der Gesellschaft sind.
Hat die Politik in einem wichtigen Bereich versagt ?
Was sagen unsere Regierungssozialisten, die so gerne nach den Sternen greifen ?
Haben sie die Sorgen und Nöte der kleinen Menschen vergessen ?
Nach fiert den Tram net offiziell, a scho geet et lass ... :
Chauffer fiert duerch Rout a kollidéiert mam
Tram
E Freideg den Owend géint 21.45 Auer koum et an der Avenue Kennedy um
Kierchbierg zu engem Accident, an deen och den Tram verwéckelt war.
(Foto : Laurent Klein)
An zwar sinn eng Bunn an een Auto net laanschtenee komm. Bei deem Knuppert
gouf eng Persoun blesséiert, esou den 112 a sengem Bulletin um fréie Samschdeg
de Moien.
Den Accident ass op der Kräizung vun der Avenue Kennedy mam Boulevard Konrad
Adenauer geschitt.
Nieft der Police waren eng Ambulanz an den Interventiounszenter aus der Stad op
der Plaz.
An d'Police präziséiert an hirem Bulletin, datt et zum Accident komm ass, well
de Chauffer, dee vum Boulevard op d'Avenue fuere wollt, d'rout Luucht net
respektéiert hat an dunn an de viischte Waggon vum Tram gerannt ass.
De Chauffer vum Auto gouf liicht blesséiert, säi Gefier awer méi uerg
beschiedegt. De Schued um Tram hält sech a Grenzen, esou nach d'Police.
30 novembre 2017 Deux votes sur le tram prévus
avant Noël
Image
Le tram devrait s'arrêter à la future gare à Howald.
Une dizaine de jours avant l’inauguration du premier tracé du tram, le Ministre
du Développement durable et des Infrastructures François Bausch a présenté à la
commission parlementaire compétente les deux prolongements du réseau du tram
entre la Gare Centrale vers la Cloche d’Or (7209) et entre le circuit de la
Foire internationale et l’aéroport du Findel (7210).
A partir du 10 décembre, les premiers passagers pourront profiter du premier
tronçon qui, dans un premier temps, desservira le trajet entre le Pont Rouge et
la Luxexpo. La deuxième partie de ce premier tronçon allant jusqu’à la place de
l’Etoile sera ouverte par étapes avant l’été 2018, a rappelé le Ministre Bausch
aux députés.
Tronçon Gare- Cloche d’Or
7 nouvelles stations devraient être construites sur une ligne supplémentaire de
4,9 km entre la Gare Centrale de la ville de Luxembourg et la Cloche d’Or. Ces
stations comprennent trois pôles d’échanges : le lycée Bonnevoie, la future gare
à Howald et la Cloche d’Or (à côté du futur stade national) et devraient
soulager le trafic menant vers le sud du pays, a souligné le Ministre Bausch. La
construction de ce deuxième tronçon dépend des avancements des travaux de la
construction de la nouvelle route nationale N3, a également ajouté le Ministre
Bausch.
Tronçon circuit de la Foire- Findel
En ce qui concerne le deuxième tronçon, le trajet de 3,9 km desservira le futur
pôle d’échange du Heienhaff (où on prévoit également la construction d’un P&R
avec 4000 places de stationnement) ainsi que l’aérogare du Findel.
La fin des travaux des deux prolongements est prévue en 2021
Le coût total pour la construction de ces deux prolongements est estimé à 214
millions d’euros, a annoncé le Ministre aux députés. Une fin des travaux est
prévue pour 2021.
Dans les prochains mois, plusieurs projets de loi concernant des projets de
financement ou de construction de P&R seront déposées à la Chambre, a également
annoncé le Ministre Bausch. Au-delà, de ces deux prolongements, le Ministère est
en train de mener des études pour éventuellement relier Leudelange, Mamer, le
quartier résidentiel du Kirchberg ainsi que Hollerich au tramway. La Présidente
de la Commission Josée Lorsché (déi gréng) a été nommée rapportrice des deux
projets de loi qui devraient être soumis aux votes en séance plénière
mi-décembre.
Zanter en Donneschdeg Den Tram fiert elo ënner normale
Konditiounen
Nodeems den Tram déi lescht Méint haaptsächlech an der Nuecht e puer Testfaarte
gemaach huet, geet et zanter en Donneschdeg an déi 2. Testphas.
Nach huet ee sech nach net ganz mam Gedanken Tram am alldeeglechen Trafic
ugefrënnt. Wuel och, well e bis ewell nach net regelméisseg gerullt ass. Ganz
anescht dann d'Bild zanter en Donneschdeg beim Rondpoint Serra, op eemol steet
en dann do bei de Luuchten. Sou muncheree wäert sech do d'Fro gestallt hunn, wéi
ee sech am Trafic verhält.
Och hei gëllt et d'Luuchten ze respektéieren, net op de Schinnen ze lafen oder
mam Auto drop stoen ze bleiwe bei engem Stau.
Richteg beäntwert kritt een dës Fro awer ganz sécher an den nächsten Deeg, den
Tram rullt nämlech elo ënner reelle Konditiounen, dat heescht mat Stoppen op de
verschiddenen Arrêten iwwert de Kierchbierg. Dat ganzt natierlech ouni
Passagéier. Den 10. Dezember ginn d'Waggonen eng éischte Kéier och vu Leit
besat.
Déi geschwonge Form vun der Daachkonstruktioun léisst de Verdacht opkommen, dass
nees e Kënschtler um Wierk war deem et méi op den Design ukoum, wéi op d'Leit
déi gären ënnerdaach stinn, wann et reent. Sou wéi deen Daach ausgesäit, ginn
nämlech vill Leit naass.
Mat aner Wierder, dat Ganzt ass nees eng Fehlkonstruktioun, grad wéi den Tram
selwer mat sénge grousse Radkëschten an den "Y"-Staangen.
Claude
Nächste Tram-Phase wird konkret
8,8 zusätzliche Kilometer für 214 Millionen Euro
Infrastrukturminister François Bausch stellt
Finanzierungsgesetz vor
(DL) - In weniger als zwei Monaten
legt die Tram ihre erste Fahrt zurück - zunächst zwischen
Luxexpo und Roter Brücke. In einem nächsten Schritt geht es weiter
via die "Stäreplaz", das Stadtzentrum bis zum Hauptbahnhof. Nun
werden auch die Verlängerungen der Trasse, zwischen "Gare centrale"
und "Cloche d'Or" einerseits sowie zwischen Luxexpo und Findel
andererseits, konkret.
Am Freitag hat Infrastrukturminister François Bausch dem
Ministerrat diese beiden zusätzlichen Streckenabschnitte vorgestellt
- genau wie den Gesetzentwurf zur Finanzierung. In den
nächsten zwei Wochen wird es dem Parlament zur Abstimmung vorgelegt.
Demzufolge soll die 4,9 Kilometer lange Strecke vom
Hauptbahnhof via den neuen Peripheriebahnhof Howald bis zum
neuen Fußballstadion in Kockelscheuer/Cloche d'Or rund 114,9
Millionen Euro kosten - inklusive der Haltestellen, der
benötigten Fahrzeuge und etwaiger Kompensationsmaßnahmen. Insgesamt
werden auf diesem Teilstück sieben Haltestellen bedient, darunter
drei sogenannte "Pôles d'échange" (Lycée Bonnevoie, Howald, Cloche
d'Or). Sieben Fahrzeuge werden auf dieser Strecke eingesetzt.
Von der Luxexpo aus wird es nach dem Ausbau der Strecke über
3,9 Kilometer bis zum Flughafen Findel gehen. Hier werden
zwei Haltestellen bedient, "Héienhaff" ("Pôle d'échange" mit P&R)
und "Findel". Kostenpunkt hierfür: 99,1 Millionen Euro.
Zwischen den Ausstellungshallen in Kirchberg und dem Flughafen
werden fünf Tramfahrzeuge verkehren.
Die Kosten für beide Verlängerungen werden gänzlich vom Staat
übernommen - anders als beim Streckenabschnitt Luxexpo-Hauptbahnhof,
wo die Stadt Luxemburg für ein Drittel der Kosten aufkommt.
In einer späteren Phase soll die Straßenbahn weiter ausgebaut
werden - Richtung Hollerich/Cessingen, von der Cloche d'Or
aus bis nach Leudelingen, von der "Stäreplaz" aus bis nach
Mamer und in Kirchberg über den Boulevard Konrad Adenauer.
Wie François Bausch erklärte, werden diese Verlängerungsvorhaben
jedenfalls in den "Plans sectoriels" festgehalten.
www.wort.lu
+++ +++
Kommentar : D'Iddi vum Tram ass gutt. Awer den
Tram vu Luxtram ass schlecht. An dowéinst ass déi ganz Saach
kontraproduktiv
Mais bon, iergendwéi kritt de grénge Minister säin Tram gefëllt,
och wann d'Leit hien heemlech verfluchen, well se keng Plaz fir hir
Been hunn, oder well se mam Kapp an déi komesch "Y"-Staange
stoussen. An ech si mer bal sëcher, dass déi iwwerflësseg Spillerei
mat deene blobeliichte Sëtzrécker bei der éischter Revisioun
verschwënnt.
Claude Oswald
Luxemburger Wort, 12. Oktober 2017
Kommentar : Hoffentlech ass dat net erëm esou en
Designer-Modell, wou d'Leit spéiderhin am Reen stinn.
Bei Luxtram ass een an der Tëschenzäit esou munnech negativ Iwwerraschung
gewinnt.
Claude Oswald
Et gouf Téitschen
Wéi mer um Internet liese kënnen, sollt den 23. September 2017 eng Porte ouverte
bei Luxtram sinn. Wéi den Tram aus dem Schapp gefuer ass, ass hien allerdings an
e Podest gerannt, sou dass de Spaass séier eriwwer war. Ob et Blesséierter gouf,
ass net bekannt.
Op der Foto bei RTL gesäit een däitlech, wéi kleesber den Tram gebaut ass. Et
géif ee mengen, déi ganz Karosserie wier nëmme Kartong.
Et muss engem deemno Angscht ginn, wann ee sech virstellt, wat an Zukunft nach
alles passéiert, wann den Tram am richtege Verkéier Autoen oder Camionen ze pake
kritt.
Claude
LEITARTIKEL Auto-"Ban"
DIANE LECORSAIS
"Sind die Straßen erst mal überlastet, gestaltet sich eine Entlastung
bekanntlich schwer."
Es war ein symbolisch bedeutungsvoller Moment, als vergangene Woche mit der
feierlichen Freigabe des Boulevard Kockelscheuer ein erster, zentraler
Bestandteil des neuen Mega viertels Ban de Gasperich eingeweiht wurde.
Gleichzeitig war es allerdings auch ein ernüchternder Moment. Der Weg hin zu
weniger autobasierten und vielmehr auf die öffentlichen Verkehrsmittel
ausgerichteten Stadtteilen ist offenbar noch lang – und das Ziel von
verkehrsberuhigten Vierteln in weiter Ferne.
Bis zu 41,5 Meter ist der neue Boulevard breit – mit sechs Fahrspuren, davon
zwei für den Busverkehr bzw. ab 2020/2021 für die Tram. Dass der Straßenbahn
hier späterhin eine zentrale Rolle zukommen wird, steht außer Frage; es ist
genauso richtig wie wichtig. Trotzdem ist zu befürchten, dass das Auto die
Nummer Eins bleiben wird.
Denn beim Boulevard Kockelscheuer handelt es sich lediglich um die erste – und
zwar die kleinere – von zwei Hauptverkehrsadern im "Ban". Mit seinen 48,5 Metern
Breite wird der senkrecht dazu verlaufende Boulevard Raiffeisen, der die Rue
Raiffeisen ersetzen wird, noch um einiges größer. Auch hier werden Fahrspuren
für den Busverkehr reserviert, die Tram wird diese Achse nicht befahren. Zudem
sind sogenannte "Voies de desserte" vorgesehen, die die Verkehrsteilnehmer zu
den Einfahrten der einzelnen (Büro)-Gebäude führen. Ähnlich wie bei der Avenue
Kennedy in Kirchberg also. Doch will man diese Ähnlichkeit wirklich haben?
Schließlich ist genau das eines der Probleme des Kirchberg Viertels. Die
gigantische Verkehrsachse teilt das Viertel in zwei, sie macht es vor allem
auto-, dafür aber umso weniger fußgänger- und radfahrerfreundlich. Sicher, bei
der Avenue Kennedy handelt es sich eigentlich um die Überreste der Autobahn. Und
damals, als das Viertel auf dem Plateau entwickelt wurde, war es nun mal Usus,
den Fokus auf den Individualverkehr zu legen. Heute darf es dies aber nicht mehr
sein. Im Gegenteil. Schließlich möchte die Regierung erreichen, dass bis 2020
ein Viertel aller motorisierten Bewegungen auf den öffentlichen Verkehr
entfällt. Immerhin wurden die Fußgänger und Radfahrer diesmal von vornherein
eingeplant. Aber reicht das aus?
Angesichts der Ausmaße, die das Stauproblem inzwischen landesweit, aber
besonders in und um die Hauptstadt angenommen hat, ist dies schwer vorstellbar.
Klar, beim Ban de Gasperich handelt es sich momentan noch um eine Großbaustelle.
Dass es da zu Engpässen kommt, war zu erwarten. Dennoch ist es
besorgniserregend, wie sehr es schon heute in diesem Bereich staut. In den
Sommerferien – und zu einem Zeitpunkt, an dem erst etwas mehr als zehn Prozent
der rund 20 000 Beschäftigten, mit denen lang-fristig gerechnet wird, hier
arbeiten. Von den Besuchern des Einkaufszentrums, das ab Frühjahr 2019 Kunden
aus der gesamten Großregion anziehen soll, mal abgesehen. Genau wie von den
(immerhin) ein paar Tausend Bewohnern, die das Viertel ab Ende des Jahres
beziehen werden. Sind die Straßen erst mal überlastet, gestaltet sich eine
Entlastung bekanntlich schwer.
Das neue Viertel am "Ban" wird sich in den kommenden Jahren, wie ein
gigantisches Puzzle, Stück für Stück zusammenfügen. Und so wird auch das ganze
Ausmaß dieses doch beachtlichen Vorhabens nach und nach sichtbar. Was bereits
heute feststeht: Man hat groß gesehen beim Ban de Gasperich. Vielleicht zu groß.
Luxemburger Wort vom Donnerstag, 7. September 2017, Seite 3
D'USILL - den Daachverband vun den Interesseveräiner aus der Stad
Lëtzebuerg - huet an de vergaangene 25 Joer vill "Unsinn" erzielt. Si ware
bekanntlech géint den Tram, a si schéinen deen och haut nach net ze verdauen.
Et stung dëser Deeg am "Journal" :
Die Forderungen der USILL im Vorfeld der anstehenden
Gemeindewahlen
In ihrer neulich abgehaltenen Generalversammlung hat die "Union des Syndicats
d'Intérêts Locaux de la Ville de Luxembourg" (USILL), in der die
Interessenvereine der meisten Stadtviertel zusammengeschlossen sind, eine
Resolution verabschiedet. Was den neuen Bebauungsplan (PAG) der Stadt Luxemburg
betrifft, so moniert die USILL, dass ein wichtiger Bereich, nämlich die
Mobilität und der innerstädtische Verkehr, nicht berücksichtigt wurde.
Demnach verlangt die USILL-Generalversammlung in ihrer Resolution die
Beibehaltung aller Bahnverbindungen in die Hauptstadt, auch die, die von einer
sogenannten Nebenlinie - sprich: Düdelingen, Rümelingen, Audun und Diekirch -,
auf eine Hauptlinie stoßen, indem direkte Zugverbindungen von und nach Luxemburg
eingesetzt werden. Die politischen Verantwortlichen der Stadt Luxemburg werden
aufgefordert, Machbarkeitsstudien über "innovative Transportmittel" wie
"Monorail" oder "Tram aérien" durchzuführen.
+++ +++
Ech weess net, wat déi Leit mat deem "Monorail" bezwecken. Ass do iergendee
Constructeur deen hinnen eng Prime versprëcht, wa se sech bei de Politiker
duerchsetzen ? Wat erwaarde se sech konkret vun engem "Monorail" ? A wou soll
dee fueren ?
Oder hunn déi Leit Erënnerungen un d'1960er Joeren, wéi d'Iddi vun engem
"Monorail" modern war ?
Komescherweis huet déi soi-disant aalmoudesch Eisebunn d'1960er Joeren
iwwerlieft, awer de "Monorail" huet sech weltwäit ni esou richteg duerchgesat.
Vläicht huet dat domat ze dinn, dass d'Leit naiv an onrealistesch Erwaardungen
an de "Monorail" haten.
Lëschteg ass et ze gesinn, wéi verkrampft d'Politiker op deenen onkamoute Plaze
sëtzen an net esou richteg wëssen, wou se hir Been stelle sollen. Mä si hu jo
nëmme fir d'Foto poséiert a musste sech den Tram net mat 200 oder 300 Leit
deelen. An deem Fall wier et nämlech richteg enk ginn.
Wahrscheinlech ass et esou, dass déi implizéiert Politiker a Verwaltungscheffen
zimmlech iwwerflächlech sinn, an dass et hinnen egal ass, wéi d'Leit spéiderhin
transportéiert ginn. Wahrscheinlech ginn se dovun aus, dass et ville Leit net
direkt opfällt, dass den Tram vu Luxtram net dat Gielt vum Ee ass.
Respektiv wäerte se d'Leit forcéiere mam Tram ze fueren, an de Gebrauch vum
Privatauto systematesch aschränken. Sou kënne se da behaapten, den Tram wier e
grousse Succès.
Fir mech ass a bleift den Tram vu Luxtram eng grouss Enttäuschung. Ech soen dat
éierlech a riichteraus, och wann eenzel Kollegen aus der Tram asbl respektiv aus
der AÖT mech am Reen stoeloossen, oder wa se mer an de Réck falen.
Claude
Die Tram auf dem Vormarsch Erste Gleise auf der Roten
Brücke
Im Dezember könnte die
Straßenbahn bereits bis zum Großen Theater fahren. Foto: Lex Kleren
Veröffentlicht am Dienstag, 25. Juli 2017 um 17:45
(rr) - Vor zwei Wochen hat die Tram ihre erste Testfahrt über das
Kirchberg-Plateau hingelegt. Am 10. Dezember wird sie ihre regulären Fahrten von
der Luxexpo bis zum „Pont Grande-Duchesse Charlotte“ aufnehmen, eventuell sogar
bis zum „Grand Théâtre“.
Die wichtigste Voraussetzung hierzu – die Verlegung der Schienen auf der Roten
Brücke – begann am Dienstag. Am Glacisfeld, wo die Gleise bereits liegen, wird
die Straßenbahn in einer zweiten Phase, im Frühjahr 2018, verkehren.
www.wort.lu
12 juillet 2017
La caste politicienne fête la sortie du premier tram, mais tout ne baigne pas
dans l'huile. Il semble que les collaborateurs de Luxtram - simples
salariés à la merci de leur direction - soient les victimes
d'une politique néolibérale qui voit les conditions de travail et les salaires à
la baisse. Le syndicat des cheminots commence à se poser des questions.
Luxemburger Wort, 7. Juli 2017
Kommentar : Nach meinen Erfahrungen wird Luxtram die
Tramfreunde zum Narren halten und die Testfahrt um ein paar Stunden vorverlegen.
Bürgerbeteiligung ist nämlich bei Luxtram nicht gefragt.
Ansonsten wird man sich wohl oder übel an das Tram-Monster gewöhnen müssen.
Claude Oswald
Arbeiten an der neuen Straßenbahn
Tram-Gleise erreichen Limpertsberg
Am 10. Dezember wird der erste Streckenabschnitt in
Betrieb genommen
(DL) - Langsam aber sicher hält
die Trambahn Einzug ins Stadtbild.
Die Gleisverlegung schreitet voran, wie unser Bild vom Rande des
Glacisfeldes zeigt: Inzwischen haben die Schienen den Stadtteil
Limpertsberg erreicht.
In diesem Bereich wird die Straßenbahn jedoch erst nächstes Jahr
verkehren.
In einer ersten Phase, ab kommendem 10. Dezember, fährt sie
zunächst nur von der Luxexpo bis zur Roten Brücke, möglicherweise
auch schon bis zum Großen Theater. In einem nächsten Schritt geht es
dann weiter
bis zur „Stäreplaz“, wo ein wichtiger Knotenpunkt entlang der
Tramtrasse entsteht.
Im Juli wird erstmals eine Tram das Depot verlassen – für eine
Probefahrt über die Avenue Kennedy. Im November wird dann mit der
sogenannten „Marche à blanc“-Phase begonnen – sprich mit Tests unter
komplett realen Bedingungen.
Ein steinernes Kleid für den Bahnhof
Pfaffenthal-Kirchberg
Luxemburg. Seit Monaten bietet sich Passanten
in der Rue Saint-Mathieu in Pfaffenthal ein spektakulärer Anblick. Hier
entsteht bekanntlich der neue Bahnhof Pfaffenthal-Kirchberg, wo
Zugpassagiere auf die Standseilbahn umsteigen können, die sie binnen 63
Sekunden auf das Kirchberg-Plateau befördert. Das Bahnhofsgebäude ist
inzwischen deutlich zu erkennen. Dieser Tage wurde ein Teil der
Betonstruktur mit Steinen verkleidet, damit sich das Bauwerk auch gut in
seine Umgebung einfügt. Das rund 40 Meter hohe Gebäude umfasst drei
Ebenen: Unten gelangen Fußgänger und Radfahrer in den Bahnhof, im
mittleren Bereich halten die Züge an und ganz oben, auf der dritten
Etage, fährt der „Funiculaire“ ab. Los geht es am Sonntag, dem 10.
Dezember – ab diesem Tag können Zugpassagiere am neuen Bahnhof ein- und
aussteigen, mit dem „Funiculaire“ nach Kirchberg fahren und auf der
Roten Brücke in die Trambahn steigen. DL
(FOTO: PAUL PUTZEYS)
Luxemburger Wort vom Dienstag, 6. Juni 2017, Seite 17
Brückenschlag am
„Contournement“
Über das neue Bauwerk wird die Tram die Autobahn A6 überqueren
VON DIANE LECORSAIS
Entlang des „Contournement“ zieht nicht mehr nur der künftig höchste
Wasserturm des Landes die Blicke auf sich. In unmittelbarer Nähe davon entsteht
auch eine weitere Brücke über die A6 – über die späterhin die Trambahn fahren
wird.
Autofahrern, die in den letzten Tagen und Wochen auf der Autobahn A6, zwischen
dem Cessinger und dem Gaspericher Kreuz, unterwegs waren, dürfte neben dem
markanten neuen Wasserturm noch eine weitere Veränderung aufgefallen sein. Und
zwar springen einem dort seit Kurzem vier große Betonpfeiler ins Auge – die
Vorzeichen einer neuen Brücke über den „Contournement“.
Wie die „Ponts et chaussées“ auf Nachfrage hin bestätigen, handelt es sich
dabei um das Bauwerk, das als Verlängerung des Boulevard Kockelscheuer, eine der
beiden Hauptachsen durch das neue Viertel am Ban de Gasperich, dienen wird. Die
Brücke wird denn auch die Zufahrt zum neuen Fußball- und Rugbystadion
garantieren. Neben Fahrbahnen für Autos und Co. sowie einer Radpiste wird es
darauf auch eine Tramspur geben. Die Straßenbahn wird das Viertel Ban de
Gasperich von der „Gare Howald“ aus über die neue Rue Albert Einstein erreichen,
von dort aus auf den 41 Meter breiten Boulevard Kockelscheuer, der bereits
teilweise fertiggestellt wurde, abbiegen und anschließend weiter über die neue
Brücke zu ihrer vorläufigen Endhaltestelle beim Stadion fahren.
Voraussichtlich ab März 2019 befahrbar
In diesem Bereich werden auch ein großer „Park&Ride“ sowie ein Busbahnhof
geschaffen. Die Trambahn soll spätestens im Jahr 2021 bis hierher fahren. Das
Fußballstadion soll indes bereits Anfang 2019 fertiggestellt sein. Die Arbeiten
am Wasserturm, der mit seinen 68,5 Metern das höchste Exemplar des Landes wird,
sind unterdessen bereits weit fortgeschritten – die Inbetriebnahme ist für den
kommenden Herbst geplant.
Die Arbeiten an der neuen Brücke sollen ihrerseits im Laufe des nächsten
Jahres abgeschlossen werden. Befahrbar ist sie dann allerdings noch nicht: Dies
wird erst nach Fertigstellung des kompletten Streckenabschnitts – laut
Straßenbauverwaltung im März 2019 – möglich sein.
Luxemburger Wort vom Freitag, 26. Mai 2017
Am 1. Mai 2017 veröffentlicht eine Luxemburger Tageszeitung folgenden Artikel
auf ihrer Internet-Seite :
Straßenbahn über den Rhein
72 Jahre nach Ende des Zweiten Weltkrieges verkehrt wieder eine
Straßenbahn über den Rhein und verbindet die Städte Straßburg (Frankreich) und
Kehl (Deutschland).
Das Wochenende des 1. Mai ist ein Fest in Straßburg und in Kehl. Es fährt wieder
eine Straßenbahn. Das Projekt hat 96,6 Millionen Euro verschlungen. Straßburg
hat davon 70,4 Millionen getragen, Kehl 26,2 Millionen. Die Europäische Union
hat den tragenden Pfeiler der Brücke mit 3,2 Millionen finanziert.
Eine Straßenbahn hatte Kehl und Straßburg bereits seit 1896 verbunden, als
Straßburg nach dem Krieg von 1871 in das Deutsche Kaiserreich eingemeindet
worden war. 1945 wurde die Linie unterbrochen. Seitdem war nach und nach der
Verkehr mit Bussen und mit Zügen wieder aufgenommen worden. Die bestehende
Brücke war allerdings durch den zunehmenden Autoverkehr dauernd verstopft und
Busse fuhren abends nicht mehr. Die Züge zwischen Straßburg, Kehl und Offenburg
hatten ihre besten Zeiten längst hinter sich.
Notwendigkeit offener Grenzen
Straßburg hatte im Vorfeld der Einweihung der ersten neuen Straßenbahn nach dem
Zweiten Weltkrieg massiv Werbung in Deutschland gemacht. "Ich hoffe, dass jetzt
auch Deutsche zu uns nach Straßburg kommen", sagte Straßburgs Bürgermeister
Roland Ries bei der Einweihung. Bisher ist es umgekehrt. In Straßburg liegt die
Arbeitslosigkeit bei über zehn Prozent, in Kehl bei 3,6 Prozent. Täglich pendeln
20.000 Straßburger nach Deutschland zur Arbeit. Während im französischen
Präsidentschaftswahlkampf die Populisten um Marine Le Pen die Wiederherstellung
nationaler Grenzen propagieren, sprach Roland Ries von der Notwendigkeit offener
Grenzen. "Die Deutschen funktionieren nicht wie wir. Sie haben nicht die
dieselbe Lebensweise und arbeiten anders. Wir müssen diese Unterschiede
überwinden", sagte Ries. Notfalls hilft auch eine Straßenbahn dabei.
Der "Funiculaire" ist da
Skigebiet-Feeling in Kirchberg
Die Standseilbahn ist aufgegleist - und hat
bereits erste Testfahrten zurückgelegt
(DL) -
Vorletzte Woche sind die Kabinen aus der Schweiz
eingetroffen - nun hat die CFL den neuen "Funiculaire"
offiziell vorgestellt. Die vier Kabinen der Standseilbahn
wurden bereits aufgegleist, die ersten Testfahrten
absolviert.
Der Innenbereich der 11,8 Meter langen und 3,5 Meter
breiten Kabinen wirkt äußerst geräumig. Jede Kabine bietet
Platz für bis zu 168 Fahrgäste. Während der 63 Sekunden
langen Fahrt bleiben die Fahrgäste in der Regel stehen. Es
stehen jedoch auch jeweils 16 Klappsitze zur Verfügung.
Durch die großen Fensterfronten werden die Passagiere eine
tolle Aussicht genießen können. Auch das Dach ist komplett
verglast.
Einen speziellen Fahrschein benötigt man nicht - die
M-Kaart gilt auch für das Fahren mit dem "Funiculaire".
Infrastrukturminister François Bausch gab aber zu verstehen,
dass keine speziellen Fahrscheinautomaten installiert werden
und im "Funiculaire" selber auch keine Kontrollen
durchgeführt werden - sodass jeder willkommen ist, das neue
Transportmittel zu erkunden - auch ohne Fahrschein.
Der "Funiculaire" wird bekanntlich
am Sonntag, dem 10. Dezember, zum Inkfrafttreten des
Winterfahrplans der CFL und gleichzeitig mit der "Gare
Howald" und dem ersten Streckenabschnitt der Tram den
Betrieb aufnehmen.
www.wort.lu
Aus dem Parlament
Vierte Tram-Erweiterung geplant
(mig) - Beim Großprojekt „Tram“ läuft alles wie am Schnürchen,
finanziell und planerisch. Das teilte Infrastrukturminister François
Bausch am Donnerstag der Chamber im Rahmen einer von der grünen
Fraktion angefragten Aktualitätsstunde mit.
Erstes Teilstück bis zum Glacis
Wie bereits bekannt wird der erste Streckenabschnitt Luxexpo-Rote
Brücke samt Standseilbahn und Bahnhof Pfaffenthal am 10. Dezember
2017 in Betrieb genommen. Bausch zeigte sich sogar zuversichtlich,
dass bis dahin auch das Teilstück bis zum Glacis in Betrieb genommen
werden könnte.
Bis zum Frühjahr 2018 soll der Ausbau bis zur „Stäreplaz“ fertig
sein. Ab Herbst 2019 geht es von hier weiter bis zur „Place de
Paris“ (Hauptbahnhof). Am Hauptbahnhof selbst ist kein Terminus
geplant.
Die nächste Phase sieht den Ausbau bis zur „Gare Howald“ vor. Den
entsprechenden Gesetzentwurf will François Bausch im kommenden Juli
hinterlegen. Betroffen sind der Ausbau der Strecke
Hauptbahnhof-Cloche d'or sowie Luxexpo-Findel. Letzterer wird zu 100
Prozent vom Staat finanziert, genau so wie die Arbeiten, die die
Gemeinde Hesperingen betreffen.
Vier Tram-Erweiterungen
Andere große Infrastrukturprojekte, z. B. der Ausbau des
Hauptbahnhofs auf sechs Gleise, wurden Bausch zufolge um fünf Jahre
vorgezogen. Sie seien im Zusammenhang mit dem Projekt „Tram“ von
zentraler Bedeutung. Eine Reihe von „notwendigen
Fortsetzungsprojekten“ will Bausch spätestens Anfang 2018
vorstellen.
Bausch hat vier Tram-Erweiterungen in die Plans sectoriels
einschreiben lassen: der Ausbau nach Leudelingen, nach Hollerich und
nach Mamer. Neu ist eine zweite
Kirchberger Strecke über den
„Boulevard Konrad Adenauer“ Richtung Luxexpo.
Kompensierungsmaßnahmen
Wegen des Großprojekts Tram müssen insgesamt 9,2 Hektar Wald
kompensiert werden. Die Hälfte sei bereits vor Beginn der Arbeiten
kompensiert worden, "so wie es das Gesetz vorschrieb", sagte Bausch.
Die restlichen Kompensierungsmaßnahmen betreffen die geplanten
Tram-Erweiterungen. Ort und Ausmaß der Kompensierungsmaßnahmen
werden von Umweltministerin Carole Dieschbourg festgelegt.
Kommentar : Alles schön und gut, wären da
nicht die missratenen Tramfahrzeuge. Aber da schalten Bausch und Von
der Marck auf Stur und lassen nicht mit sich reden. So wird die
Freude am Tramfahren leider schnell getrübt.
Standseilbahn Pfaffenthal-Kirchberg
Der "Funiculaire" ist da
Am 10. Dezember legt das neue Verkehrsmittel seine erste Fahrt zwischen
Pfaffenthal und Kirchberg zurück
Veröffentlicht am Dienstag, 21. März 2017 um 16:44
DL) - Nach
der Tram im Februar ist am Dienstag das nächste neue Verkehrsmittel im
Großherzogtum eingetroffen: Die erste Kabine der Standseilbahn, die Pfaffenthal
mit Kirchberg verbindet, wurde aus der Schweiz geliefert. Noch ist sie aber
sorgfältig eingepackt, wie unsere Bilder zeigen.
Hergestellt wurden die Kabinen von der schweizerischen Firma Garaventa, die auf
Standseilbahnen spezialisiert ist. In den nächsten Tagen werden auch die
nächsten drei Kabinen per Sondertransport nach Luxemburg gebracht.
Eingesetzt werden nämlich zwei voneinander unabhängige Bahnen mit jeweils zwei
Kabinen, die im Gegengewicht zueinander stehen. Unterwegs geht es für sie unter
einer Art Tunnel hindurch. Dieser wurde bereits fertiggestellt. In dieser
Unterführung kreuzen sich die jeweils zwei zusammengehörenden Kabinen, weshalb
sich hier die beiden Ausweichstellen befinden.
Oben angekommen können die Passagiere auf die Tram umsteigen, die in einer
ersten Phase nur über das Kirchberg-Plateau, später aber auch via die
„Stäreplaz“ Richtung Stadtzentrum und weiter fährt.
(www.wort.lu)
Namen der Tram-Haltestellen
Einfach, aber sinnvoll
(che) - Am Montag hat Luxtram die Namen der ersten elf
Tram-Haltestellen in Kirchberg und Limpertsberg preisgegeben.
Die Fahrgäste sollen die Stationen leicht finden, so Luxtram laut
Pressemitteilung. Und so seien die Namen der Stationen an Gebäude,
Straßen und öffentliche Plätze angelehnt, die in direktem Bezug zu
den künftigen Umsteigezentren stehen werden.
Den Namensgebern war es indes wichtig, die Kultur und Geschichte
des Großherzogtums einzubeziehen sowie die Luxemburger Sprache zu
berücksichtigen.
Die Namen der Stationen in Kirchberg sind:
Pafendall - Rout Bréck
Philharmonie - Mudam
Europaparlament / Parlement européen
Coque
Universitéit
Nationalbibliothéik / Bibliothèque nationale
Alphonse Weicker
Luxexpo
Die Namen der Haltestellen auf der "Place de l´Etoile" und in
Limpertsberg lauten:
Stäreplaz / Etoile
Faïencerie
Theater
Ende 2017 soll der erste Streckenabschnitt zwischen der Luxexpo
und der Roten Brücke in Betrieb genommen werden.
Kommentar : Ganz logisch ist die Namensgebung nicht. Wenn man
schon den "Stäreplaz" mit "Etoile" übersetzt, dann sollte man im Interesse der
vielen französisch sprechenden Menschen die auf Kirchberg arbeiten, die
Haltestelle "Pafendall - Rout Bréck" mit "Pfaffenthal - Pont Rouge" übersetzen.
Claude Oswald
Hier entsteht der neue „Diffbus“
Luxemburgs erster reiner Elektrobus im normalen Linienverkehr wird zurzeit
in Polen gebaut
VON LUC EWEN
In Differdingen künden Plakate es bereits an. Bald wird der „Diffbus“
elektrisch. Auch eine neue Linie ist angekündigt. Anlass, einen Blick
dahin zu werfen, wo die neuen Busse herkommen, nach Wroclaw.
Läuft alles nach Plan, so rollen spätestens ab Juni, vielleicht schon
Mitte Mai, die neuen, geräuschlosen „Diffbusse“ durch die Straßen von
Differdingen. Wie geräuschlos, das hatte der Hersteller Volvogroup
jüngst in einem Experiment bewiesen, als er eine Bushaltestelle samt
Ladestation für den „Volvo 7 900 Electric“ im Lesesaal einer Bibliothek
einrichten ließ. Haltestellen in Gebäuden? Ohne Emissionen und Geräusche
ist dies kein Problem. „Hätten wir früher gewusst, dass wir diesen Weg
gehen, hätten wir dafür gesorgt, dass eine Haltestelle im neuen
Einkaufszentrum ,OpKorn‘ eingerichtet wird“, so Bürgermeister Roberto
Traversini.
Die Suche
nach der Elektro-Lösung
Die definitive Entscheidung, die drei „Diffbusse“ durch vier neue zu
ersetzen, fiel erst vor rund sechs Monaten. Aber schon vor Jahren habe
man versucht, eine Lösung bei Scania zu finden, erinnern sich Traversini
und Sales-Lentz-Autocars-Generaldirektor Wolfgang Schroeder. Gemeinsam
habe man einen Prototypen gesichtet, doch Scania stellte das Projekt
wieder ein. Zeit verstrich. Dann wurde Schroeder auf den geplanten
„Volvo 7 900 Electric“ aufmerksam und informierte Traversini. Nach einer
Ausschreibung stand fest, der Deal ist perfekt.
Es wurde beschlossen, vier E-Busse anzuschaffen, um die bisher drei
Dieselbusse zu ersetzen. So kann auch eine vierte Linie eingeführt
werden. Zwei Haupthaltestellen samt Ladestation wird es künftig geben,
eine in Niederkorn und eine beim Parc Gerlache.
Die
Kostenfrage
Eine Nachricht dürfte die 105 000 Fahrgäste pro Jahr besonders freuen.
Die Nutzung des „Diffbus“ bleibt für sie gratis. Auf die Frage, was denn
ein Elektrobus kostet, schweigt Generaldirektor Schroeder mit einem
jovialen, aber vielsagenden Grinsen. Ebenso die Volvo-Vertreter. Also,
gleiche Frage noch mal an die Adresse des Bürgermeisters: Der weicht
aus.
„Derzeit kostet der ,Diffbus‘ die Stadt rund 800 000 Euro im Jahr für
drei Linien. Künftig – bei vier Linien im Elektrobetrieb – werden wir
etwa 1,2 Millionen Euro zahlen.“ Schroeder fügt schnell hinzu: „An sich
kaufen wir (Sales-Lentz – Anmerkung der Redaktion) die Busse und bieten
der Stadt ein Paket mit einer Gesamtlösung an“.
Die beiden Endhaltestellen werden mit Pylon-Ladestationen versehen.
Diese erinnern ein bisschen an Hochleitungsmasten bei Straßenbahnen, nur
ohne Kabel. Hier wird zwischen den Fahrten bis zu sechs Minuten geladen.
Vorteil, die Pylonen gehören der Stadt, können aber auch von anderen
Betreibern elektrischer Nutzfahrzeuge genutzt werden.
Luxemburger Wort vom Samstag, 18. Februar 2017
Eine neue
Erfahrung für alle Beteiligten
Auch für die Volvo-Fabrik in Wroclaw ist der elektrische „Diffbus“
eine Premiere
Wroclaw (P).Drei
Fahnen wehen bei minus sieben Grad im eisigen Wind vor der
Volvo-Fabrik im Außenbezirk der polnischen Stadt, die einst Breslau
hieß. Die schwedische (als historische Volvo-Heimat), die polnische
(als heutiger Standort der Volvogroup – die übrigens keinen Bezug
mehr zum gleichnamigen Automobilhersteller hat) und die
luxemburgische. Vergangenheit, Gegenwart und Zukunft?
Dass der Hersteller von Bussen, Konstruktions- und Lastfahrzeugen
anfangs dieser Woche die luxemburgische Trikolore hat hissen lassen,
ist mehr als nur eine höfliche Geste zum Besuch irgendeines Kunden.
Denn es geht um einen vergleichsweise kleinen Auftrag. Vier
Linienbusse hat die Firma Sales-Lentz im Auftrag der Stadt
Differdingen bei den Polen bestellt. Der erste ist fast fertig. Ende
März wird er ausgeliefert.
Doch hier geht es mehr um Innovation als um Quantität. „Diffbus
Nummer eins“ ist der erste reine Elektrobus, der in Serie
produziert, das in den 1990er-Jahren gegründete Werk verlassen wird.
„Volvo glaubt an die Zukunft der Elektrobusse“, betont der Hybrid-
Team-Leader der Volvogroup, Erland Morelissen. Dabei deutet die
Tatsache, dass der Hybrid-Mann für den E-Bus zuständig ist an, dass
Elektro noch keine vollwertige Sparte ist, die Technik also noch in
Kinderschuhen steckt.
Hohe
Erwartungen
Doch schnell soll sie daraus herauswachsen. Es gibt drei
Produktionslinien bei „Volvo Busses“ in Wroclaw, der einzigen
Busfabrik der Gruppe in Europa. Auf einer werden Reisebusse
hergestellt und auf zweien Linienbusse. Eine für Diesel- und eine
für Hybrid-Fahrzeuge. Auf der wird auch „Diffbus Nummer eins“
gebaut.
Die Erwartungen der angereisten Politiker aus Differdingen,
Bürgermeister Roberto Traversini und Umweltschöffe Georges Liesch,
sind hoch. Die Ladestationen des „Diffbus“ seien vielseitig nutzbar.
Liesch hofft, bald auch elektrische Müllwagen hier laden zu können.
Morelissen zeigt Skepsis. Bis Volvo soweit sei, würde es wohl noch
drei bis vier Jahre dauern. Aber der erste Schritt ist gemacht. Und
alle Beteiligten glauben fest daran, dass noch viele weitere auf dem
Weg der Elektromobilität folgen werden. L.E.
Luxemburger Wort vom Samstag, 18. Februar 2017
Gratis ist billiger
VON LUC
EWEN
„Wir wollen mit dem ,Diffbus‘(...)
auch zeigen, dass ein gratis öffentlicher Transport möglich ist“, so
Umweltschöffe Georges Liesch (Déi Gréng) beim Besuch der Busfabrik im
Videointerview (zu sehen auf wort.lu). All die Gefahren und Bedenken,
die oft zum gratis öffentlichen Transport genannt würden, könne man dank
der zehnjährigen Erfahrung mit dem kostenlosen „Diffbus“ widerlegen.
Gemeint sind vor allem Sicherheitsbedenken. „Ein gratis öffentlicher
Transport in Luxemburg ist möglich“, so Liesch. In einem späteren
Gespräch fügt er hinzu, dass die Stadt nachgerechnet hat, und ein
Verkauf von Tickets samt Kontrolle verhältnismäßig mehr kosten würde als
ihre Einnahmen rechtfertigen. Zwei Fragen drängen sich auf: „Ist der
Verkauf von Tickets im nationalen öffentlichen Transport dann nur ein
Selbstzweck?“ und „Warum ist die öffentliche Dienstleistung, Autobahnen
und Straßen zu bauen und zu unterhalten für deren Nutzer kostenlos und
geht ganz zu Lasten des Steuerzahlers – während die Nutzung des Bus- und
Bahnnetzes nach dem Prinzip ,Wer nutzt, der zahlt‘ verrechnet wird?“ Es
scheint, als ergebe sich die Antwort auf die zweite Frage aus der
ersten. Verkauf und Kontrolle erhalten zwar einige Arbeitsplätze, aber
mit Blick auf die Finanzen sind sie zumindest fragwürdig und mit Blick
auf Umwelt und Verkehr kontraproduktiv. Weg damit!
Luxemburger Wort vom Samstag, 18. Februar 2017
(in : Luxemburger Wort, 11. Februar 2017)
Die Tram ist da
TRANSPORT
Im Mittwochabend war es soweit. Nach einer langen Reise kam die Tram in
Luxemburg an.
Nach langem Warten ist sie endlich da. Die Tram kam am Mittwochabend in
Luxemburg an. Unsere Fotografen Jean-Claude Ernst und Alain Rischard haben sie
begleitet. Sehen Sie die Fotos in der Bildergalerie.
Die ersten Waggons kamen nicht über die Schiene, sondern per Spezialtransport
über die Straße in Luxemburg an. Hergestellt wird die Tram beim international
renommierten Rollmaterialhersteller "Construcciones y Auxiliar de Ferrocariles"
(CAF) im spanischen Saragossa. Die hochmoderne Straßenbahn entstammt der
Typenreihe "Urbos 3". Drei Tage dauerte die Reise, ehe in Wasserbillig die
luxemburgische Grenze erreicht wurde.
Im Dezember dieses Jahres wird das erste Teilstück der neuen "Stater Tram"
eingeweiht. Die Testfahrten mit dem neuen Material und die Ausbildung der Fahrer
werden aber schon ab Frühjahr stattfinden. Der erste Streckenteil verläuft vom
neuen Tramdepot auf Kirchberg bis zur Bergstation der neuen Standseilbahn an der
Roten Brücke.
Kommentar :Den éischten Tram vu Luxtram ass ukomm
!
Fir eenzel Leit ass deen Tram dat aacht Weltwonner. Anerer rëselen de Kapp, oder
et ass hinnen egal. Mir ass et an der Tëschenzäit och egal. Ech ka mech
jiddefalls net méi fir de Projet Luxtram begeeschteren.
Et waren awer bestëmmt Leit déi an der Nuecht op der Autobunn stungen, fir hir
perséinlech Foto vum éischten Tram ze maachen. Logescherweis wäerte si sech
gesot hunn, dass Spuenien a Südeuropa läit, an dass de Camion mam Tram deemno
iwwer Diddeléng an d'Land komme misst.
Oh, wat goufen déi ugeschass. De Camion mam Tram ass extra en Ëmwee gefuer an
ass iwwer Waasserbëlleg (am Osten) an d'Land komm. Méi hannerhälteg geet et nun
awer net.
Mä wat soll ech soen ? Et ass net déi éischt Enttäuschung, déi mer bei Luxtram
erliewen.
Claude Oswald
E Minettstram op Pneuen ?
Am „Luxemburger Wort“ vum 30. Januar hunn ech e groussen Artikel iwwert den
Escher Tram entdeckt, oder besser gesot iwwert den echten an de falschen Tram.
De falschen Tram gëtt och nach „Superbus“ oder „Minettstram op Pneuen“ genannt.
Ech zitéieren aus dem Artikel: „,Wir brauchen eine Tram‘, hieß es jahrelang in
Gesprächen mit vielen Lokalpolitikern im Süden des Landes. Einige sprachen von
der ,Südtram‘, andere von einer ,neuen Minettstram‘ oder einer ,Tram léger‘. Als
es vor einiger Zeit hieß, das Ministerium bevorzuge die Einführung eines ,Bus à
haut niveau de service‘ (BHNS) – von der Presse schnell ,Superbus‘ getauft –
blieben anfangs dennoch viele bei der Forderung nach einer Tram. Nun hat sich
dieser ,Superbus‘ durchgesetzt. Doch, nicht zuletzt durch die Hartnäckigkeit so
mancher Südpolitiker, wird auch er das Wort ,Tram‘ im Namen tragen; als
,Minettstram op Pneuen‘.“
Wee sinn déi hartnäckeg Südpolitiker déi esou eppes néideg hunn, e Gelenkbus
„Superbus“ ze nennen, oder schlëmmer nach, „Minettstram op Pneuen“? Hunn déi e
Mannerwäertegkeetskomplex, well déi Stater e richtegen Tram kréien, an de Minett
kritt just e Bus? Oder wëlle se hire Wieler en X fir en U virmaachen, wa se
suggeréieren, e „Superbus“ hätt déi selwecht Qualitéite wéi e richtegen Tram,
oder de „Superbus“ wier quasi en Tram ouni Schinnen? Ech fannen déi zwee
Begrëffer „Superbus“ a „Minettstram op Pneuen“ ganz einfach lächerlech. Et soll
een dach d'Kand beim Numm nennen a soen, dat ass en normale Bus, dee plazeweis
séng eege Strooss huet. Punkt.
Gelegentlech daucht och de franséische Begrëff „bus à haut niveau de service“
op; mä och dee Begrëff ass irreführend. D'Leit stelle sech wahrscheinlech
spontan vir, dass se an deem Bus besonnesch frëndlech empfaange ginn (wat awer
an der Realitéit net de Fall ass), oder dass se eng Zeitung an eng Taass Kaffi
ugebuede kréien (wat awer net de Fall ass). Dass de Bus méi dack a regelmässeg
fiert, mëcht aus him kee „Superbus“, well mat engem normale Bus kann ee gradesou
gutt en dichten Taktverkéier fueren.
Ech hunn éischter den Androck, dass de „Superbus“ alias „Minettstram op
Pneuen“ e faule Kompromëss ass, wou et drëm geet, Suen ze spueren. Et soll
groussaarteg ausgesinn, awer et soll nëmmen d'Hallschent kaschten. Meeschtens
kritt een awer am Liewen nëmmen déi Qualitéit ugebueden, fir déi een och bereet
ass, ze bezuelen.
Claude Oswald
Luxemburger Wort vom Samstag, 4. Februar 2017, Seite 16
Innenausstattung der Tram Die Krux mit der
"X"-Stange
Sehbehinderte empfinden die Haltestange in der Tram als gefährlich
Veröffentlicht am Donnerstag, 2. Februar 2017 um 06:00
(DL) - Das erste Tramfahrzeug ist fertig. Die Innenausstattung ist extravagant –
und für die Vereinigung „Chiens Guides d'Aveugles Luxembourg“ problematisch: Für
Sehbehinderte sei sie nicht sicher. Luxtram erklärt hingegen, extra Änderungen
vorgenommen zu haben.
Im Tram-Modell, das bis Anfang 2016 in Kirchberg ausgestellt war, war eine
Haltestange in „Y“-Form vorgesehen. Eine Expertengruppe wies in der Folge auf
die Gefahr für Sehbehinderte hin.
Foto: Anouk Antony
Blinde und sehbehinderte Menschen, die ihren Weg mit einem Stock ertasten,
berühren die Haltestange in der Mitte der Tram im unteren Bereich – und können
so nicht erkennen, dass der obere Teil der Stange breiter ist. Darauf macht die
Vereinigung „Chiens Guides d'Aveugles Luxembourg“ aufmerksam, nachdem Bilder des
ersten fertigen Tramfahrzeugs aus Saragossa veröffentlicht wurden.
Als bis Anfang 2016 eine Nachbildung der neuen Tram in Kirchberg ausgestellt
war, war noch eine Haltestange in „Y“-Form vorgesehen. „Schon damals haben
einige von uns sich den Kopf an dieser Stange gestoßen“, kritisiert Roland
Welter, Präsident von „Chiens Guides d'Aveugles Luxembourg“. Eine von der
Vereinigung Adapth ("Centre de compétence national pour l'accessibilité des
bâtiments") eingesetzte Expertengruppe habe deshalb auf das Problem hingewiesen.
„Chiens Guides d'Aveugles Luxembourg“ ist eines der Mitglieder besagter
Expertengruppe.
Die Pläne wurden in der Folge abgeändert – die „Y“-Stange durch eine „X"-Stange
ersetzt. Aber: „Das Grundproblem ist damit nicht gelöst“, so Welter – denn auch
dieses Modell sei unten schmaler als oben. Gerade weil die Meinung einer
Expertengruppe eingeholt wurde, kann die Vereinigung nicht verstehen, weshalb
dies nicht geändert wurde.
Die Pläne wurden daraufhin abgeändert. Wie im ersten fertigen Tramfahrzeug zu
erkennen ist, hat die Stange nun eine „X“-Form – womit die Gefahr aber nicht
beseitigt sei, beklagen die Betroffenen.
Foto: Lex Kleren
Roland Welter zeigt Verständnis dafür, dass es bei bestehenden Transportmitteln
manchmal schwierig ist, die notwendigen Anpassungen vorzunehmen. Doch handele es
sich bei der Tram um eine neue Konstruktion. „Und dann so eine Falle?“, fragt
er. „Unter uns spricht es sich herum, wenn etwas gefährlich ist – und dann wird
es nicht genutzt“, befürchtet der Präsident von „Chiens d'Aveugles Luxembourg“.
Denn eigentlich erachtet die Vereinigung die Tram als ein „großartiges, neues
Projekt“.
Kommentar : Ich habe persönlich die Erfahrung gemacht,
dass Kritik am Designermodell von Luxtram nicht erwünscht ist. Die Direktion von
Luxtram übt sich in Überheblichkeit und wird dabei von grünen Parteisoldaten
unterstützt.
Das Beste wäre wohl, man würde ganz von vorne beginnen und statt eines
kitschigen Designermodells eine Tram bauen, die den Bedürfnissen der Menschen
angepasst ist.
Wichtige Knotenpunkte für die Tram
Neuer Busbahnhof Ende 2017 in Betrieb
Bauarbeiten für zwei „Pôles d'échange“ haben begonnen
(rr) - Ende dieses Jahres wird die Tram zwischen der Luxexpo und
der Roten Brücke verkehren. Bis 2021 soll die ganze Strecke zwischen
Findel und Cloche d'Or bedient werden. Eine wichtige Rolle spielen
dabei die neun „Pôles d'échange“. Zwei von ihnen sind derzeit im
Bau.
Seit Montag kann nicht mehr auf dem P&R-Parkplatz bei der Luxexpo
in Kirchberg geparkt werden. Der Grund: Hier haben die Arbeiten für
einen von neun „Pôles d'échange“ begonnen, auf denen bei der
Verwirklichung der Tram ein besonderes Augenmerk liegt.
Neue Busbahnhöfe und Auffangparkplätze
Entlang der 16 Kilometer langen Tramstrecke ist an diesen
Umschlagpunkten das Umsteigen auf andere Transportmittel (Auto, Zug,
Bus oder Fahrrad) möglich. Die „Pôles d'échange“ befinden sich in
Höhe des „Héienhaff“ in Findel, bei der Luxexpo in Kirchberg, in
Höhe der Roten Brücke, auf der „Stäreplaz“, am Hamilius, beim
Hauptbahnhof, beim „Lycée Technique de Bonnevoie“, in Howald und
beim neuen Fußballstadion in Cloche d'Or.
Bei den Nutzern punkten sollen die „Pôles d'échange“ u.a. mit
Ladesäulen für Elektroautos, „Vel'oh“-Stationen, einer „mBox“ und
einem kleinen Kiosk.
Der erste „Pôle d'échange“ befindet sich am „Héienhaff“ in der
Nähe des Flughafens Findel. Hier werden ein „Park & Ride“ mit 4 000
Stellplätzen sowie ein Busbahnhof gebaut. Auch bei der Luxexpo in
Kirchberg werden ein Auffangparkplatz (500 Stellplätze) und ein
neuer Busbahnhof errichtet. Der nächste Knotenpunkt befindet sich
bei der Roten Brücke. Hier wird die Standseilbahn aus Richtung des
Bahnhofs Pfaffenthal-Kirchberg anhalten.
Die „Stäreplaz“ wird indes eine wichtige Rolle für die Busse aus dem Westen
des Landes spielen. Auch die Arbeiten für diesen Knotenpunkt sind bereits
angelaufen.
Die Passagiere sollen hier aus dem Bus aus- und auf die Tram umsteigen. Die
Trambaustelle soll bis spätestens Frühjahr 2018 hier angekommen sein. Die
Bushaltestellen und die Straßenbauarbeiten, die von der Straßenbauverwaltung
verwirklicht werden, sollen provisorisch parallel fertig sein, so dass dieser
Knotenpunkt funktionieren kann, sagte uns auf Nachfrage hin Dany Frank,
Pressesprecherin im Ministerium für nachhaltige Entwicklung und Infrastrukturen.
Die Arbeiten an der "Stäreplaz" haben bereits begonnen. Foto: Pierre Matgé
Struktur bei der Luxexpo bis Ende des Jahres in Betrieb
Bei der Luxexpo in Kirchberg wurde diese Woche die Baustelle installiert und
mit den Erdarbeiten begonnen. Der neue Busbahnhof soll bis Ende dieses Jahres
partiell in Betrieb gehen (Phase 1), d. h. die Umsteigestelle Bus/Tram wird dann
auch mit fünf Quais funktionieren.
Ab Ende 2018 soll die „Busgare“ komplett in Betrieb sein mit zehn Bussteigen.
Der P+R soll zu Beginn der Jahres 2020 gänzlich in Betrieb gehen.
Luxemburg. Die Tram kommt
noch in diesem Jahr. Die Strecke vom neuen „Tramsschapp“ in Kirchberg
bis zum Flughafen wird über vier Kilometer führen. Vom Kreisverkehr
Serra aus wird die Tram entlang des Zubringers der A1 fahren, um dann
über eine Brücke über die Autobahn zu führen. Weiter geht es entlang des
Autobahnkreuzes und der A1 bis zum „Héienhaff“. Hier führt die Trasse
unter der N 1 hindurch zum „Park&Ride“-Parkplatz und dann zum Flughafen.
Die Haltestelle soll sich in Höhe des Osteingangs zum Terminal befinden,
erklärt Infrastrukturminister François Bausch (Déi Gréng) in seiner
Antwort auf eine parlamentarische Frage von Marcel Oberweis (CSV).
Zwischen Kirchberg und Findel soll die Tram mit einer Geschwindigkeit
von bis zu 70 Kilometern in der Stunde fahren, sodass die Strecke in
sieben Minuten zurückgelegt wird. Für den Ausbau der Tramstrecke müssen
rund 3,5 Hektar Wald weichen. Hierfür soll es Kompensationsmaßnahmen
geben. Wo genau die Bäume angepflanzt werden, ist noch offen. SH
Luxemburger Wort vom Mittwoch, 18. Januar 2017, Seite 22